Après l'euphorie... sur le Bitcoin... les algorithmes... et Nvidia... un Krach attend les particuliers au tournant... 

Préparez-vous : 3 de ces actifs vous protègent... un autre vous permet de générer des rentes en hausse...

+ 3 actions avec un potentiel "fois 100"
Les membres de mon réseau d'experts et analystes me font part d'inquiétudes malgré la hausse dans les actions...

Un des experts de mon groupe, Tom Dyson, partage récemment une poignée de graphiques à l’appui…

Le graphique ci-dessous montre la perception d’optimisme dans le marché, selon l'agrégat de trois types d'indicateurs...

La courbe atteint à présent un record… à l’instar de l’an 2000.

Pour Tom Dyson, la multiplication des trackers d’indices aux États-Unis - les ETFs - montre aussi le signe du gonflement de bulle dans les marchés. 

La hausse de l’offre de fonds indique des rentrées d’argent de la part d’investisseurs, comme au sommet d’une bulle.

Les lancements d’ETFs atteignent 700 dans seulement les 12 derniers mois !
Enfin, ci-dessous, vous avez la part des 10 actions les plus importantes dans la valorisation du S&P 500…

Un ratio élevé indique que seul un petit nombre d’entreprises tire la Bourse vers le haut… un signe de danger en cas de déception - dans les algorithmes, par exemple…
J'aimerais partager avec vous 3 actifs qui devraient représenter plus de la moitié de votre patrimoine... 

Et qui devraient vous protéger face aux deux grands types de désastres en vue...

À savoir...

1) Un Krach des marchés-actions, et d'autres actifs comme l'immobilier et les cryptos...

Ou...

2) Une hausse ou une stabilisation en apparence des marchés-actions et de l'immobilier... mais au prix d'une chute en pente raide de la valeur de la devise...

Ce second scénario a déjà eu lieu dans la Stagflation années 70... quand la Bourse américaine a en principe généré un retour plus ou moins nul... mais a en réalité détruit la moitié de la valeur des actionnaires en raison de la chute en valeur du dollar.

Mais ce n'est pas tout... 

Car en plus de vous aider à vous protéger... Je vais aussi vous envoyer une poignée de placements dans les marchés-actions qui devraient nous permettre de générer des rentes et plus-values... en dépit d'un plongeon dans la tech ou d'aléas pour les économies du monde.

Cela comprend 3 noms d'actions précises... choisies par l'un des experts de mon groupe : Chris Mayer, un ex-banquier qui gère par ailleurs plus de 100 millions $ pour des gens fortunés dans son fonds...

Si vous acceptez de bénéficier de mon plan de protection... et de recevoir une petite poignée d'idées de placements à l'épreuve des remous en vue...

...vous aurez aussi une série de documents spéciaux que nous avons conçus avec l'aide de Chris...

Il y explique :

*** Les 3 éléments-clés qu’il examine dans la sélection d’une action en Bourse

*** Les 2 principaux dangers qui guettent tout entreprise, en particulier après une cotation en Bourse

*** Le conseil de Warren Buffett au sujet de la diversification, et l’intérêt de détenir des actions au lieu d’un tracker sur un secteur
 
*** Les places boursières où Chris trouve le plus d’opportunité – et les régions où il reste à l’écart

*** Trois « indicateurs rouges » qui signale un danger dans une action

*** Comment l’acquisition d’autres entreprises par une société peut générer des revenus en exponentielle au fil du temps – et comment détecter les signaux d’opportunités, ou au contraire de dangers – dans les acquisitions

*** Comment reconnaître le moment de vous séparer d’une action en portefeuille, ou, au contraire, conserver une position malgré un déclin du titre

Je vous partagerai plus bas les réussites et qualifications de Chris dans sa carrière... pour vous expliquer les raisons de notre confiance en lui... 

Je vais aussi vous ouvrir l’accès à une réserve de documents exclusifs – que je n’ai jamais partagés en-dehors d’un petit groupe fermé de lecteurs…

Vous aurez ainsi accès à tout ceci : 

*** Un dossier spécial avec les recherches de Chris Mayer au sujet des trois recommandations d’actions que je vous enverrai

Vous aurez une série d’interviews de mes archives avec…

*** Mon co-fondateur Bill Bonner, un des principaux actionnaires d’une société cotée en 2021 à plus d’1 milliard $ de valorisation… et auteur de best-sellers sur l’économie et la finance...

*** Byron King, géologue diplômé de Harvard, et ancien attaché au directeur des Opérations maritimes de l’armée américaine

*** Jim Rickards, ancien directeur légal chez LTCM, et le principal négociateur pour la société lors de l’intervention de la Réserve fédérale en 1998 – la première dans l’Histoire

*** Rick Rule, plus gros actionnaire d’une société d’investissement les minières et valeurs pétrolières, avec plus de 10 milliards $ d’actifs sous gestion

*** Et d’autres encore…

Vous recevrez cette archive d’interviews exclusives avec tous les autres éléments que je vous enverrai tout de suite…

PLUS encore une dernière chose…

J’ai récemment mis à jour un "livre" que j’ai retiré de la vente pendant plus d’un an… 

J'ai mis à jour les données, et ajouté plus d’informations pour vous aider à comprendre notre point de vue sur les marchés.

Ce livre – que je vous enverrai en format électronique – vous permet d’entrer dans le détail de notre vision du monde…

Vous trouverez, dans cet ouvrage de près d’une centaine de pages, un exposé du problème au cœur de la monnaie-papier et du contrôle de la planche à billets par les autorités...

Le livre s'appelle La Descente aux enfers de la France en 5 étapes… et vous allez y trouver une collection d’informations et de détails sur l’histoire de la monnaie, et l’émergence des banques centrales… afin de montrer les dégâts et déformations qui résultent des décisions des gouvernements sur la monnaie...

Il contient : 

*** Pourquoi l’Union européenne prend exemple sur les Empires coloniaux – et mène aux mêmes types d’échecs (p. 4)

*** L’an 1800 et les crimes à l'origine de la banque centrale (p. 12)

*** L’importance de la Bulle des chemins de fer, et de la Révolution de 1848 sur le fonctionnement de la monnaie-or et la mise en place du monopole de la Banque de France (p. 15)

*** Le cas des trois Décennies perdues au Japon, et la leçon pour les politiques de relance en Europe (p. 36)

*** Le programme de l’UE à l’origine de plus de 100 milliards d’euros d’obligations par an depuis 2021… avec un objectif de 150 milliards d’euros d’endettement en 2024 (p. 38)

*** La crise de 1929, et la mise en place des politiques de relance (p. 39)

*** Le changement de donne pour les emprunteurs à risque (le high yield) et l’ère des taux en hausse (p. 45)

*** La réalité sur les hausses des cours des actions – et comment l’évolution de l’once d’or révèle la source des gains en Bourse (p. 47)

*** Le cas d’une hyperinflation, dans un pays proche de la France, dans les années 90 – avec destitution du gouvernement… coupures de courant… et pillage de matériel dans les hôpitaux (p. 51)

*** Comment la dévaluation de la livre libanaise mène à une chute de plus de 90 % des salaires – comptés en dollars – en seulement 5 ans... (p. 56)

*** Le fonctionnement de la Bulle de la Compagnie du Mississippi en 1716… et comment les dirigeants mettent à usage les bulles pour le financement des déficits  (p. 57)

*** Comment le gouvernement d’un pays du Levant limite l'accès par les citoyens à leur propre épargne en banque à 4.800 $ par an… et les parallèles avec la France (p. 66)

*** L’histoire de l’infiltration des gouvernements par le milieu des criminels – en particulier dans la Russie post-Révolution… (p. 76)

*** Le désastre au début de l'ère de Mitterrand – et l’avertissement sur la dérive en cours (p. 78)

*** Les gagnants des rachats de 341 milliards d’euros d’obligations d’entreprises par la BCE (p. 80)

*** La mort d'une devise... et comment elle pourrait survenir chez nous (p. 88)

*** L’éclatement d’une union monétaire, en Europe, dans les années 90, et comment des projets semblables ont pris fin dans l’Histoire... (p. 93)

Vous aurez une version du livre avec des mises à jour et ajouts spéciaux afin de tenir compte des retombées récentes en 2024.

J'ai retiré La Descente aux enfers de la France en 5 étapes de la vente pendant plus d'un an… afin d'ajouter ces mises à jour et améliorations.

La raison pour laquelle nous changeons notre manière de fonctionner...

Les actions que nous avons vendues dans les derniers mois ont rapporté des gains de 161 %... 181 %... ou 128%... 

Tandis que le CAC 40 grimpait de seulement 16 % en 2023...

C’est parce que nous avons correctement anticipé certains de changement les plus importants dans les marchés... 

Nous disions… dès le lancement de nos services en début 2021 que...

“les autorités tentent de provoquer l’inflation…”

Et nous pensons que dans un avenir proche… 

...les problèmes de devise menacent de ressurgir... 

Dans un avenir peu lointain... nous verrons des paquets de jambon à 100 euros au supermarché… et du beurre à 50 euros, si vous arrivez à en trouver.

Votre facture d’électricité continuera à monter… à 1.000 euros par mois… 

Le litre de diesel sera de plus en plus cher. Il atteindra bien plus de 20 euros.

Ce n’est plus seulement une question d’imprimer de l’argent pour soutenir l’économie.

Les élus sont en train de pousser des initiatives dangereuses… pour mettre fin au pétrole, au gaz, et même au nucléaire (même s'ils ne le disent pas). 

L'exploration pétrolière est interdite. 

Le dernier gros champ de gaz européen - aux Pays-Bas - met fin aux opérations, sous pression de l'UE et des écologistes.

La production de pétrole et de gaz en Europe a chuté de moitié depuis l'an 2000… 

La production n’a pas été aussi faible en plus de 40 ans.


Essayer d'éliminer le pétrole et le gaz va coûter des sommes immenses.

La banque d'affaires Morgan Stanley estime le coût à 45.000 milliards d’euros environ.

Mais ce n’est pas seulement une question d’argent… ou de prix.

Cela remettra en cause nos manières de vivre à tous.
Le diesel ne circulera plus dans les pompes…
Les autorités tentent tout pour augmenter le prix des carburants... ou bloquer l'accès aux voitures à moteurs...

Un jour, ce sera comme au Sri Lanka ou le Liban… 

Le gouvernement tente d’empêcher les queues pour les stocks de carburants et d'autres types de biens de base... en interdisant l'accès aux produits pour une partie des gens !

Au Liban, pour une grande partie de la population, le gouvernement limite les retraits à 400 euros par mois, et environ 4.500 euros par an.

D'autres ont perdu 95 % de leur épargne en 5 ans... en laissant l'argent à la banque !

Dans ce cas de figure, en France, quelles entreprises pourraient continuer à marcher ? 

Combien de temps faudrait-il pour un effondrement de notre civilisation ?

Avant une révolution ?

Les politiques d'énergie - au prétexte de la planète - détruisent des emplois, usines, et sources de richesse.

Et il ne s’agit pas d'une simple série d’erreurs et de faux-pas de la part des élus ou de l’UE.

Tout cela est dirigé… voire même voulu par des groupes qui suivent l'idéologie de la "décroissance."

Vous n'en verrez pas de critiques sur les plateaux de télévision… 

Ils distribuent déjà des amendes - ou font usage de la censure - envers toute critique...
Qui nous sommes, et ce que nous proposons
Je dirais que nous sommes parmi les gens les mieux connectés… et les mieux placés pour voir la réalité derrière les événements.

L’un de mes associés a par exemple suivi des études de droit à l'Université de Georgetown… 

Cette institution a aussi formé des gens proéminents comme l'ex-président américain Bill Clinton, l'ancien directeur de la CIA, ou encore l'ancienne présidente des Philippines, Gloria Arroyo.

Un autre de mes partenaires a travaillé dans une grande banque d'affaires à Londres… 

Son grand-père était à la tête d’une banque anglaise bien connue…

Il vit actuellement de ses propres placements…

Je travaille aussi avec un ex-gérant de fonds californien… un géologue et économiste diplômé de Stanford.

Il a participé aux fameuses réunions du “Bohemian Grove”… peut-être le club le plus exclusif des États-Unis.

Cela se passe dans les forêts proches de San Francisco… et les téléphones mobiles ne sont pas autorisés…

J'étais proche de ces types de gens quand j’étais au lycée français de Londres, par exemple... ou quand j'étais dans un lycée réputé et exclusif à Paris.

J'ai ensuite fait des études de science dans l'une des plus anciennes universités des États-Unis.

Je vous parle de tout cela parce que ce désastre est lié à ces types de clubs… de réseaux d’entraide et d’influence… 

Les "Front-maçons." Les gens qui se rendent à Davos. Les proches de présidents, et haut-fonctionnaires... ou les gens au sommet du milieu des universités et de journaux ou Think Tanks.

Les autres membres de mon groupe travaillent depuis bien plus longtemps que moi dans la prévision et les conseil économiques.

L'un des membres de ma petite équipe a prédit – dans ses écrits pour ses lecteurs – que le marché-actions japonais, en plein essor dans les années 80, était sur-valorisé...

Il a averti ses lecteurs : 

“La hausse du marché japonais, en cours depuis longtemps, approche sûrement de sa fin.” 

C’était en 1988 !

Et comme prévu, en 1989, le marché japonais a piqué du nez. Il a souffert d'un déclin de 80 % dont il ne s'est jamais remis.

Ensuite, il a aussi prédit que le marché des actions Internet, les dot-coms, était sur-valorisé.

Il a même averti ses lecteurs le jour-même où le Nasdaq a commencé à chuter.

L’indice a alors chuté de 85%... décimant également des actions françaises bien connues comme Orange (alors France Télécom), qui a chuté de façon spectaculaire de 95 % en deux ans et demi. 

Les actions technologiques ont mis 16 ans avant de récupérer de ces pertes. 

Et certaines actions ne s’en sont jamais remises.

Un autre avertissement - par plusieurs des personnes dans mon grope - est survenu dans les années 2005 à 2007. 

Ils ont vu une autre bulle se former, cette fois en lien avec l’immobilier.

L’un de mes associés écrivait, “il existe un feu brûlant qui va emporter le marché immobilier, et il est centré sur les bilans de Freddie Mae et Freddie Mac.”

Les deux sociétés de crédit au logement américaines qu’il nommait ont en effet fait faillite durant la crise qui a suivi.

La chute de la Bourse a démarré en 2007, et s’est poursuivie jusqu'en 2009, date à laquelle elle avait perdu 50 %.

Et les retombées ont duré des années. 

Quelques années plus tard, la Grèce était en faillite et prête à quitter la zone euro.

Un autre pays que nous avons étudié en détail – l’un de mes co-fondateurs y a un bureau depuis 2009 et y détient un vignoble de Malbec -, c’est l'Argentine.

Le pays nous intéresse parce qu’il était l’un des plus riches au monde jusque dans les années 60. 

Puis il s'est transformé en l’un des plus pauvres.

Vous avez peut-être entendu parler de Juán Perón… de safemme Évita… ou, récemment, des Kirchner…

Les politiciens y sont tous corrompus. 

L’inflation atteint 50 % par an. 

Un crédit pour un achat immobilier vous coûtera 28 % par an d’intérêts.

Et le revenu moyen est seulement de 6.200 euros par an… c'est encore moins que la Grèce ou la Biélorussie.

Aujourd’hui, nous voyons le même genre de chose prendre racine ici en France.

Mais l’Argentine n'est pas arrivée dans cet état du jour au lendemain. 

Cela a pris 70 ans. 

Et elle a traversé des crises déroutantes.

Cela a compris des guerres, des coups d’État, le meurtre de milliers de personnes(par le gouvernement), et des taux d’inflation atteignant les 2.000 %.

Préparez-vous : nous sommes encore aux débuts !


À 20 euros le prix du litre de diesel - une estimation que nous jugeons réaliste en cas d'installation des hausses de prix - il faut 8.000 euros pour faire le plein d’un réservoir standard de 385 litres... c'est ce que devra payer un agriculteur typique pour remplir son tracteur.

Comme souvent dans une perturbation de cet orde, les agriculteurs verront des pénuries d'équipements et de pièces de rechange.

Ils ne pourront pas se procurer les engrais, les semences, ni les produits chimiques dont ils ont besoin... ou alors ils n'auront pas assez de moyens face à l'envolée des prix.

Nous l'avons vu avec l'envolée des prix de l'énergie, après la réouverture.

BASF, le plus gros producteur européen, a réduit de 40 % sa production d’ammoniac en raison de la cherté du gaz. 

Imaginez maintenant que vous soyez à la place d'un agriculteur.

En moyenne, il est endetté à 186.900 euros, d’après l’Insee.

Tout à coup il doit s'en sortir avec un prix pour le litre de diesel de 20 euros. 

Il n’arrive pas à se procurer ses engrais ni les autres produits.

Qui fera alors pousser du blé? Qui produira du soja ou du colza ?

Essayez d’imaginer ce qui peut se passer avec des hausses de prix - pour les biens en rayons, les voitures, les carburants, les factures d'électricité - de 50 % par an !

Quel homme d'affaires voudra investir dans une société ? 

Lorsque vous allez au magasin… vous trouvez des ruptures de stock… dans les céréales… le lait… les oeufs…

Vous trouverez une étagère sur deux vide.

Une personne que nous connaissons, en Argentine, nous a dit qu'elle était en mauvais état.

Elle s’était ouvert l'abdomen dans un accident. 

Elle avait survécu, mais il avait désespérément besoin de la visite d'un infirmier ou un médecin.

Mais toutes les routes étaient fermées pour empêcher aux gens de circuler – à cause du covid.

Heureusement, cette personne avait sa famille. Et ils ont fait de leur mieux. Mais ils n'avaient pas du tout les compétences requises.

Une infirmière a pu finalement leur rendre visite… mais n'avait même pas de quoi dresser la plaie.

Elle a survécu. De très peu.

Tous les jours, ce sera un nouveau problème dans les infos… 

Un scandale.

Un dérapage de déficits.

Les infos diront que les riches abandonnent le pays… 

Qu les taxes forcent les sociétés à fermer. Que le chômage augmente.

La situation ne semble pas encore aussi grave… mais c'est car nous en sommes encore aux débuts !


Les gens ne sont pas encore inquiets. Au contraire.

Le rythme de la progression des prix reste autour des niveaux le plus élevé en 40 ans. 

Et pourtant le gouvernement de Macron dépense 300 milliards d’euros à crédit par an.

Et les autorités comptent faire tourner encore massivement la planche à billets...

Notre déficit est aujourd'hui de 6 %... le même niveau qu'a l'habitude de voir le Liban...

Mais le plus important qu’il faut retenir de notre présentation, c'est le suivant : 

Quand une société perd la tête, alors, les gens - à l’intérieur de la société - perdent à peu près tous la tête en même temps.

Prenez l’Allemagne des années 30….

Quand les Nazis ont saisi le contrôle, il n’a fallu qu'une période de mois pour que tous les grands journaux, les grosses sociétés, les cours de justice, les politiciens, et même les organismes religieux, se rangent de leur côté.

Il devenait impossible d’avoir un point de vue opposé.

C’est pour cette raison que moi et mon groupe, nous avons quitté le monde de la gestion de fonds, et des services financiers.

Nous avons besoin de liberté totale pour promouvoir notre point de vue.

Nous pouvons vous délivrer ce message seulement parce que nous choisissons de rester indépendants.

Vous n'entendrez certainement pas ce genre de choses de la part du Figaro ou du Monde.

Ces types de journaux auront toujours le même point de vue que les élites. 

Je parle des gens au sommet de grandes écoles comme l’ENA, polytechnique, ou HEC, par exemple. 

Ainsi que dans les grandes sociétés privées, qui ont presque toujours l’État comme client... 

Je parle encore des Think Tanks qui produisent les études et les statistiques... qui vont toujours dans le sens de la volonté du gouvernement.

Il est peut-être tentant de penser que cette situation inédite est seulement due au virus. 

Et qu’elle va se résorber une fois que tout sera revenu à la normale.

Mais la création d'argent et les déficits ont parfois des impacts pour une génération - ou plus !

En Russie, le gouvernement tsariste avait multiplié la quantité d’argent en circulation par environ 5, afin de payer la Première guerre mondiale. 

D'abord, le rouble a chuté... et ensuite le Tsar.

En Allemagne, l’hyperinflation des années 20 a entraîné des perturbations dans l'économie.

L’occupation de la vallée du Ruhr, par la France et la Belgique, a laissé les Allemands avec un sentiment de victimisation.

Des extrémistes de tout bord ont exploité ces sentiments. 

Parmi eux, Hitler et les Nazis ont remporté la lutte pour le pouvoir.

En Chine, la masse monétaire a grimpé de 91 fois entre 1943 et 1946. 

Puis de 6 fois en 1947. 

En 1937, le taux de change de la monnaie était de 3,4 yuans le dollar. 

Quand Mao Zedong a pris le pouvoir en 1949, c'était 23 millions de yuan le dollar.

Les problèmes d'approvisionnement en biens, causés à la fois par la guerre, mais aussi par la planche à billets, ont entraîné des pénuries à environ tous les niveaux. 

Du coup, la plupart des Chinois ont accueilli avec enthousiasme la victoire des Communistes... Ils y voyaient la fin de la tourmente - en particulier dans la valeur de la devise !
La chute de la monnaie emporte tout avec lui...
Quand l’argent se dégrade de la façon la plus sévère… comme au Zimbabwe ou au Venezuela par exemple… alors il vaut mieux rester à l'écart.

Si nous avons raison, alors vous devez absolument faire des changements importants– mais relativement faciles - afin de vous assurer de ne pas être au "mauvais endroit."

Nous pensons que vous devriez éviter la majorité des actions en Bourse.

Et éviter de vous retrouver piégé par la chute des devises.

Ceci pourrait s'avérer être la dernière grande prédiction que nous ferons.

Collectivement, mon équipe et moi avons émis quatre prédictions majeures jusqu'à présent.

La première était à la fin des années 1980, et mon co-fondateur disait à répétition que le “miracle japonais” n’était en fait pas si miraculeux. 

On lui a même offert un livre, en gag, intitulé “Comment j’ai prédit l'effondrement de Japan Inc.,” signé de son nom.

Mais en 1989, il a eu raison...
 
Et le marché japonais a grimpé d'environ 3 % depuis le sommet de janvier 1990... soit 34 ans sans quasiment aucun retour... et c'est sans compter la baisse du yen !

Nous avons continué à en émettre au fil des années. 

En 1999, nous disions que les actions internet allaient piquer du nez.

Et ensuite, nous disions entre 2005 et 2007 que le marché immobilier américain était voué à la crise.

Ces prédictions n'ont pas reçu beaucoup d’attention médiatique à l'époque.

Nous espérons que cette prédiction-ci arrivera aux gens comme vous à temps… et que vous y ferez attention… même si vous ne nous connaissez pas encore très bien.

Parce que cette prédiction est vraiment la mise en garde majeure de toutes nos carrières collectives en tant qu’analystes, économistes, et investisseurs.

Avant que cette situation n’arrive à sa conclusion, nous prévoyons de voir les épiceries, grandes-surfaces, et commerces, ajuster leurs prix toutes les semaines afin de tenir compte de l’inflation.
Les gens recevront leur solde et iront le dépenser au plus vite.
Voyez, rien de tout ceci n'est mis en place du jour au lendemain. Cette situation est en préparation depuis longue date.

Et nous-même, nous avons observé son évolution depuis plusieurs décennies. 

L’un de mes co-équipiers a par exemple travaillé chez Airbus de nombreuses années… 

Elle a pu voir de près comment des gens proches des milieux politiques arrivent souvent à monter les échelons, même dans une entreprise en principe privée.

Un autre membre de mon groupe a travaillé à Washington, DC, où s'est déroulée une grande partie de cette saga.

Le système financier actuel est quelque chose de très différent… et de très nouveau, par rapport à ce qu’il était avant.

Les ‘startups’ européennes ont obtenu plus de 100 milliards d’euros de la part d’investisseurs capital-risque, en un an…

Le tout pour des sociétés dont la plupart n'a jamais généré un centime de bénéfice… malgré des milliards d'euros d'investissements.

Et malgré la bonne fortune de certains… la plupart des gens semblent tomber en arrière, financièrement.

Le PIB par habitant en France est en baisse de 15 % depuis 2008. Cela suggère qu’il y a moins de richesse qui se crée qu'avant. Que les gens dans l’ensemble sont moins prospères.

Le pouvoir d’achat, qui était massivement en hausse dans les années 60 et 70, est de plus en plus stagnant.

Le nouveau système économique et financier est contrôlé par un cercle assez restreint de personnes…

Les élites vous disent ainsi que l’inflation ne va durer que "quelques mois," par exemple. 

C’est “temporaire,” ou“transitoire,” répètent-elles. Cela alors que la situation s’éternise.

Elles nous disent qu'en empruntant plus d'argent… avec plus de stimulus monétaire… elles peuvent créer la croissance.

Et nous permettre ainsi à tous d’avoir un meilleur mode de vie… sans avoir à nous soucier de rembourser(la croissance arrangera les choses, après tout).

Toute cette manière de fonctionner est vouée à l'échec. 

Mais il n'est pas possible de changer de trajectoire maintenant. 

Nous approchons peut-être de la plus grande crise économique et sociale qu'ait jamais connue la France.
 
Ce pourrait être pire que tout ce que nous avons vu depuis un siècle. 

Cette prochaine crise pourrait bien être plus sérieuse que les précédentes, et même que toutes celles-ci réunies.

C’est pour cela que tout ceci est si urgent. 

Les bulles financières, payées par la dette, finissent toujours par éclater. Et celle-ci ne sera pas l’exception.

En 1999, la France avait de la dette privée en circulation équivalente à 170 % de son PIB. 

En 2008, propulsée par le boom de l’immobilier, la dette atteignait 203 % du PIB. 

Mais en 2020, après 10 ans de stimulus monétaire et de manipulation des taux d'intérêts, qui étaient censés relancer l'économie, la dette privée a atteint 296 % du PIB. 

C’est-à-dire que la dette des ménages et des entreprises a grimpé plus de deux fois plus rapidement que la croissance économique depuis 20 ans. 

Et c’est sans prendre en compte la dette publique, qui a grimpé tout aussi rapidement sur la période.

Si vous ajoutez la dette privée et celle du gouvernement, la dette totale s'élève à 411 % de la taille de l’économie en 2020… soit plus de 9.000 milliards d’euros… 

En comparaison, tout l’or de la Banque de France, qui a la quatrième réserve au monde, a une valeur de 133 milliards.

Environ 1,5 % de ce montant. La valeur totale de toutes les terres agricoles en France est d’environ 1,6 % de la dette.

En 2023, le déficit atteint 5 % du PIB… et le gouvernement a déjà annoncé qu’il resterait supérieur à 3 % du PIB jusqu’en 2027... et sans doute pour des années au-delà.

Dans les 20 dernières années, le PIB a augmenté d'environ 1.640 milliards d’euros. 

Le PIB en France atteint 2.640 milliards d’euros en 2022… contre un peu plus de 1.000 milliards d’euros en l’an 2000.

L’endettement du gouvernement, quant à lui, s’est accru beaucoup plus que cela… passant de 60 % du PIB en 2000… soit environ 800 milliards d’euros… 

...à 3.088 milliards d'euros à fin 2023... soit 113 % du PIB.

Rien qu'en 2024, le gouvernement a besoin de 160 milliards d'euros de prêts pour le roulement des dettes à maturité au cours de l'année.

La banque centrale est prise au piège. Elle n’a pas d’issue potentielle. 

La Banque centrale européenne est face à un choix très simple. Soit elle peut continuer à faire marcher la planche à billets...

Ou alors, elle doit cesser de créer de l’argent, et alors provoquer une récession et un effondrement de la Bourse.

Saviez-vous, par exemple, qu’en 1981, les taux sur les crédits immobiliers étaient de 18,6 % ? 

Aujourd’hui, le taux moyen sur un emprunt à 20 ans est de 4 %... et vous voyez le début de l'effondrement en cours dans les transactions sur la pierre.

Combien d'emprunteurs arriveront à refinancer leur emprunt à un taux de 18,6 % ? 

Au début des années 80, la Banque de France a fait le choix du “Tournant de la rigueur.” 

Et cela a marché.

Le problème, aujourd’hui, c’est qu'il n'est plus possible d'y mettre fin.

Depuis 2018, le gouvernement français a empilé la somme de 700 milliards d’euros de dette par-dessus ce qu'il avait déjà.

La France, c’est le pays le plus endetté de toute la zone euro…

Le groupe Euler Hermès estime qu'il faudra plus de 60 ans pour que la France rembourse le seul surplus de dette qu'elle a endossé en raison du virus.

Notre dette dépasse celle de l'Allemagne d'environ 600 milliards d’euros…
Mais pourquoi avons-nous toute cette dette, finalement ? 
C’est à cause de 20 ans d'investissements ratés.

Le sauvetage des banques pendant la crise de 2008… 360 milliards d’euros.

L’Environnement, atteignant une dépense totale de l’ordre de 1.000 milliards d'euros sur 20 ans en France.

Vous avez les quelque 700 entreprises sous contrôle de l’État – comme La Poste, la RATP, la SNCF, ou EDF. Le gouvernement éponge de temps à autre leur dette et la met sur le compte du contribuable.

Ou encore, vous avez le “quoi qu’il en coûte,” estimé à 240 milliards d’euros. 

Entre 2000 et aujourd’hui, la dette publique a grimpé de 2.300 milliards d’euros.

Qu’avons-nous générés comme retour sur tous ces investissements ? Rien. Zéro.

Et à présent, il est impossible de rembourser toute cette dette.

L’inflation est la seule issue qui reste pour s'en débarrasser de manière ordonnée.

Certaines des personnes les mieux placées… y compris des gens proches du président ou des ministres - comme les patrons de sociétés favorisées ou autres -… vont s’en sortir avec des sommes fantastiques.

Mais pour la plupart des gens, ce sera un désastre total, dont ils ne se remettront jamais. 

Nous n’allons pas vous appeler à soutenir un programme politique.

L’un de nous a par ailleurs essayé. En se présentant aux élections européennes.

Mais l'UE ne permet pas la présentation de son parti aux élections pour des raisons techniques...

2008 marque peut-être le début du tournant dans les fortunes des Français.
 
C’est à ce moment-là que les niveaux de vie des Français… et leurs revenus ont cessé de grimper.

Vous verrez aussi ci-dessous que les actions du Dow Jones - rapportées à la valeur d'une once d'or - n'ont pas grimpé depuis la crise de l'an 2000...

Les bases du ralentissement remontent à la fin des années 90.

C’était à ce moment-là que le marché-actions a fait des records qu’il n'a pas vus pendant les 20 prochaines années.

Ce n’est pas seulement une question de quelques politiques mal-choisies.

C’est bien plus profond que cela.
C’est une corruption qui va au cœur de la France, et même de tout le bloc européen.
EDF a fait face à plus de 20 milliards d’euros de pertes pour la facture du "bouclier tarifaire…" 

Et la solution du gouvernement - la nationalisation - garantit plus de retards, surcoûts de construction des centrales, et pertes en raison de l'inefficacité des bureaucrates.

Les mêmes élites sont actives au niveau européen. 

En 2021, le budget de l'Union européenne a augmenté de 80 % pour atteindre 1.800 milliards sur le prochain septennat.

En 2023, l'UE émet plus de 100 milliards d'euros d'obligations - au nom des citoyens de la zone... et elle prévoit au moins 150 milliards d'euros de dette pour 2024.

La part des exportations de biens et services issus de la France, parmi les pays de l’UE, ne cesse de baisser depuis 20 ans.

Selon un économiste intervenu dans Le Monde, les dépenses sur la Recherche & Développement sont 50 % moins importantes en France qu'en Allemagne, Belgique, ou Autriche.

Et selon la Banque européenne d'investissement, l’adoption numérique est inférieure en France comparé au reste de la zone euro, et aux États-Unis, dans tous les grands secteurs.

Et avez-vous remarqué? Pas un seul des vaccins n’est “Made in France.”

Les objectifs de mon groupe d'analystes

Beaucoup de gens pensent qu’il faut à tout prix tomber sur le prochain Bitcoin ou Amazon pour gagner de l’argent.

Mais en réalité, c'est votre allocation globale qui fait le plus de différence dans votre portefeuille.

En fait, en vous servant de deux actifs seulement - l’or, et le Dow Jones, qui est le plus ancien indice boursier - une approche très simple aurait permis de battre massivement le marché. 

Voyez, à 6 reprises, depuis 1913, un investisseur aurait pu prendre une décision simple pour se protéger ou alors faire fructifier son portefeuille.

Et il n’avait pas besoin d'acheter autre chose que l’or, ou le Dow Jones, pour le faire.

Les résultats de ces 6 opportunités sur les 109 dernières années sont résumés dans ce tableau.
Tout cela pour vous montrer que la décision la plus importante à prendre, ce n’est pas toujours quelle action acheter.

Mais simplement, être au bon endroit au bon moment. Et éviter d'être au mauvais endroit au mauvais moment.

Il ne fallait pas se trouver à Beijing en 1959, par exemple. Ou à St Pétersbourg en 1917.

Notre approche simple, qui n’utilise que l’or et un tracker du Dow Jones, aurait permis de transformer 100 $ en 32 millions $ sur la période de 1913 à aujourd’hui, comme vous pouvez le constater.

Nous sommes depuis 1998 dans une période où il faut avoir de l’or, à la place du Dow Jones. 

Comment savoir quand ce sera le moment de changer ? 

C’est un indicateur qui permet de savoir si les actions sont sous valorisées, ou sous-valorisées, par rapport à l'or.

Et qu’est-ce qu’il nous dit en ce moment ? 

L’or devrait continuer à surperformer les actions pour encore quelques temps.
Donc nous essayons tout d’abord de savoir généralement sur quels actifs il faut être en ce moment.

Une des leçons à retenir aujourd'hui : à travers l’Histoire, il y a toujours eu des surprises.

Ce ne sera pas la première fois que cela arrivera :

*** Le 20 janvier 1948, le franc Mayer fut dévalué de 80 %. Le cours du dollar américain passe instantanément de 119 à 214 francs !

*** En 1958, le franc est à nouveau dévalué de 37,55% par le Général de Gaulle.

*** Durant les 3 premières années de Mitterrand au pouvoir(1981-1983), le franc est successivement dévalué 3%, 5,75% puis 8%.

Toutes ces dévaluations n'ont nécessité qu’uncoup de crayon. Aucune discussion à l'Assemblée Nationale. Pas de vote. Aucune approbation requise.

Et toujours sous le couvert d'une urgence : la reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, la Guerre d’Algérie, ou la récession de 1980.

Et le prochain prétexte à l'urgence, il est tout trouvé.

Nous avons vu ce qui s'est passé dans "l'urgence" du Covid 19. Les entreprises ont fermé. Des industries entières sont passées sous respirateur artificiel. 

Et en France, la dette a explosé. Dans le “quoi qu’il en coûte,” il y a par exemple 143 milliards d’euros de Prêts Garantis.

Et pour éviter tout embarras, le gouvernement a déjà reporté à 10 ans le terme des prêts. En gros, pour donner à l'inflation le temps de rogner les montants.
Tout ce nouvel argent a été créé sans vote… sans acte de l'Assemblée Nationale… et sans débat.
Alors que se passera-t-il la prochaine fois ?

La crise - même s’il ne s’agissait que d'une simple correction du marché boursier - sera gérée comme les dernières l'ont été… de la Grande Dépression et de la Seconde Guerre mondiale, au renflouement des banques en 2008, et à la crise de Covid. 

Avec plus de dépenses, des taux d'intérêt plus bas et toujours la planche à billets.

D’accord… mais quel est le problème, demandez-vous ? Après la Seconde Guerre mondiale, nous avons eu les 30 Glorieuses.

Peut-être que la France prospérera aussi après la prochaine crise ?

Mais la Seconde Guerre mondiale a connu une fin.

À la fin de la guerre, le déficit français était massif et la dette totale pesait 200 % du PIB. Mais le déficit s'est rapidement réduit quand la guerre a pris fin. 

Et simultanément, l’économie avait une croissance moyenne de 6%. 

En 1974, le budget était excédentaire d’un équivalent de 6,7 milliards d'euros actuels.

Aujourd'hui, il n'y a aucune chance que le budget redevienne excédentaire. 

En effet : il n’y a pas d’après-guerre pour mettre fin aux dépenses. 

Il n'y a pas d’armistice en vue. Pas de défilé de la victoire. 

Et donc, pas de limite à la planche à billets. La dette est trop importante. Même sans crise, la dette française augmente de plus de 300 milliards d’euros par an.

Donc, la dévaluation va suivre son cours. 

Ensuite, à moins que la Banque Centrale ne force volontairement les pays-membres à la récession, nous verrons les prix augmenter de 20 %... 50 % par an.

Les principaux dirigeants s’étaient fixé comme objectif de réduire de moitié les émissions de CO2 avant 2030.

Cela coûterait 150 000 milliards de dollars, avait déclaré la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen. 

Mais l'accès à des énergies de faible coût fait partie des nécessités pour les niveaux de vie... en France et autour du monde.

Il y avait moins de 2 milliards de personnes sur Terre en 1900.
 
Ils n'utilisaient que 50 exajoules d'énergie. 

C'est le pétrole qui a permis de nourrir, vêtir et loger près de 8 milliards de personnes. 

Aujourd'hui, le monde utilise 11 fois plus d'énergie… pour subvenir aux besoins d'environ 4 fois la population. 

Enlevez le pétrole, le gaz et le charbon : que mangeront ces 6 milliards de personnes supplémentaires ? Où vivront-ils ? Comment vont-ils se chauffer ?

En 2022, les « énergies renouvelables» ne représentaient, en fait, qu'environ 2 % de l'énergie primaire dans la monde...

Même après 4 décennies d'investissement et de développement. 

En d'autres termes, l'énergie « renouvelable» ou « verte » ne fait vivre qu'environ 800 millions de personnes. 

Et les pays qui génèrent le plus d'électricité... ont aussi les coûts d'énergie les plus élevés !

Le Danemark, avec plus de 50 % de son électricité à base d'éolien, a aussi le prix d'électricité le plus élevé de quasiment tout pays au monde... 

Et quant à la France... une étude montre que le déclin du nucléaire - au profit des renouvelables - résulte en une augmentation des coûts de courant... ET dans une hausse des émissions de carbone !
Supprimez le diesel….et nous commencerons à connaître les pénuries, partout. 
Les véhicules électriques sont subventionnés. Les moteurs à combustion interne sont pénalisés… voire interdits. 

Nos centrales nucléaires sont en cours de démantèlement. 

L’exploration pétrolière est au plus bas depuis 73 ans. On ne fore pas de nouveaux puits de pétrole. On ferme des oléoducs. On abandonne les réservoirs de stockage. 

En théorie, l'énergie « verte » est formidable. 

En pratique, il est impossible de développer suffisamment de capacité de production et de stockage à partir d'énergies renouvelables.

Alors, que va-t-il se passer ?

Le système se révèlera rigide et fragile - comme l'économie soviétique. 

Puis, par une nuit particulièrement froide… sans soleil… et sans vent - et des températures tombant en dessous de zéro dans la moitié du pays - tout s’arrêtera. 
Coupures de courant et manque d'énergies à l'horizon
Tuyaux percés. Toilettes fissurées. Animaux Disparus. Caves inondées. Plafonds abîmés.

La crise financière… se transformera en crise énergétique… puis en crise politique. 

Ce sera la plus grande crise que nous ayons jamais vécue. 

Mais que faire ? Acheter des actions ? des obligations ? de l’or?

L’un des analystes de mon groupe a travaillé pour une des grandes banques d’affaires de Londres. Il s’appelleTom Dyson. 

Et il ne fait rien d'autre que de dénicher les occasions spéciales sur lesquelles vous êtes susceptible de gagner beaucoup d'argent – sans trop attendre. 

Il vit de ses propres investissements. Et il trouve ces configurations inattendues qui peuvent rapporter beaucoup.

De plus, un autre de mes analystes est considéré par beaucoup comme le meilleur investisseur en valeur de long-terme. Il s'agit de Chris Mayer, un ex-banquier.

Et normalement... je ne partage jamais leurs recommandations d'actions en dehors d'un cercle restreint de quelques dizaines de personnes. 

Mais aujourd'hui... pour la première fois... je vous donne un échantillon de leur travaille.

Avec 3 actions de notre analyse Chris Mayer... un ex-banquier et expert en placements pour la durée dans des entreprises rentables avec une croissance au-dessus de la normale.

Vous avez des cartes à jouer. Certains choix que vous devrez faire ne seront sans doute pas faciles. Et il vous sera plus facile de ne rien faire. 

Mais il y existe beaucoup de manières de se préparer à ce qui vient. 

L’urgence, c’est de protéger votre argent… votre niveau de vie et votre qualité de vie.

Nous sommes confrontés à une urgence financière comme nous ne l' avons jamais vue auparavant. 

C'est pourquoi j’ai réuni toute une équipe -- moi, Simone Wapler, Tom Dyson, Bill Bonner (auteur de deux best-sellers américains sur l’économie, et fondateur d'une importante société de conseil boursier)...

Et Byron King (un géologue diplômé de Harvard), qui est notre expert en placements miniers ou pétroliers. 

Et nous sommes conseillés par le “roi du stock picking”, Chris Mayer. 

Et nous proposons de vous donner accès à des recommandations précises pour préparer votre patrimoine.

Les actions et les obligations sont hors de contrôle… et pourraient s'effondrer à tout moment. Tout comme lors de la Bulle Internet… et de la crise des subprimes. 

Si vous pensez que vous êtes assez intelligent pour chronométrer le marché et l’éviter, je vous souhaite bonne chance. Une fois le Krach commencé, cela pourrait vite mal tourner.

Je crois que cela pourrait être comme 1929 en Amérique ou 1989 au Japon… où les actions ont perdu 80 % de leur valeur… et n'ont pas rebondi. 

Aux États-Unis, il a fallu 27 ans avant que le marché boursier ne se redresse. Au Japon, cela fait 32 ans et la Bourse ne s'est pas encore redressée.

Mais les gens continuent de nous dire : “Je ne suis pas inquiet. Chaque fois que ces investissements ont baissé, je serré les fesses, jusqu’à temps qu’ils remontent.”
Oui… ils remonteront. Mais pas nécessairement de votre vivant. 
Après le boom des années 1960, il a fallu deux décennies pour que les actions se redressent (en comptant l'inflation). 

Même après le crash du Nasdaq en 2000, les investisseurs ont attendu 17 ans pour revoir les anciens sommets (toujours en ajustant pour l'inflation). 

Si une crise disparaît… une autre prend la place. 

Après le virus... c'est pour contrer M. Poutine… ou encore pallier aux pénuries... ou encore relancer l'industrie... ou contrôler le climat.

Il y a toujours un "cas particulier". 

Il y a toujours urgence… et toujours une raison de dépenser plus que ce que vous ne pouvez vous permettre. 

Et quand vous pouvez simplement faire marcher la planche à billets, la tentation de le faire est irrésistible.

Quelle sera la prochaine« urgence ? » Un krach boursier ? Un hiver froid ? Une nouvelle variante du Covid ? Ou la guerre en Ukraine ? 

Le prix des crédits-carbone grimpe inlassablement. 

Il a doublé par rapport à 2020... et grimpé de 20 fois par rapport à 2016. Les investisseurs savent que l’UE ne remettra jamais en cause le dogme climatique. 

Quoi qu’il arrive, l'élite ne va jamais lâcher les rênes.

L'élite d'aujourd'hui est une classe à part… une caste de personnes qui lisent les mêmes journaux et assistent aux mêmes séminaires et conférences et sont allées dans les mêmes écoles : Sciences Po, l’ENA, etc.

La dette c'est ce qui permet aux initiés, en connivence avec le gouvernement, de continuer à dépenser l'argent qu'ils n'ont pas pour protéger leur propre pouvoir et fortune.

N'oubliez pas que le budget de l’État est la principale source de financement pour toute la caste de l'élite.

En France, depuis 1997, on a recruté 1 014 000 fonctionnaires supplémentaires, pour un total de 5,6 millions de fonctionnaires ! 

Tout ça pour une population active de 29,6 millions !

M. Macron aurait pu rejeter la politique ratée des années précédentes… et faire quelque chose de complètement différent. 

Mais l'a-t-il fait ?

Bien sûr que non. C'est ce qui maintient les initiés au pouvoir… et protège sa richesse. 

Le budget - financé par la planche à billets – ne cesse de croître. 

M. Hollande n’a rien fait pour rattraper M. Sarkozy. Et M. Macron n’a rien fait pour rattraper M. Hollande. 

Pas de changement de direction. Mêmes politiques fiscales. Mêmes politiques monétaires. 

Le gouvernement n'a pas de carte de crédit. Il a des dettes. Et il doit payer des intérêts sur cette dette. 

Les taux d'intérêt sont bas depuis des années parce que les banques centrales les ont maintenus ainsi. Nous payons donc INCROYABLEMENT PEU d'intérêts sur notre dette. 

Par exemple, en 2020, le gouvernement a dépensé environ 34 milliards d’euros en paiements d'intérêts de la dette aux détenteurs d'obligations. 

En 2023, en raison de la hausse des taux... et de l'emballement des déficits... le gouvernement paie 55,5 milliards d'euros aux créanciers, en seulement les intérêts !

Tout ceci s'additionne.

Au cours des trente prochaines années, le gouvernement devra payer au bas mot 1 000 milliards d'euros d'intérêts sur notre dette! 

Pour rappel notre dette totale à ce jour s’élève à 3.088 milliards d’euros.

Les intérêts débiteurs constitueront bientôt le deuxième poste de dépense du gouvernement... en dépassant l'Armée et l'Éducation nationale.

La sécurité sociale et l'assurance-maladie resteront premières avec tous les baby-boomers qui prennent leur retraite. Vous voyez le gigantesque problème ? 

Les finances du gouvernement ne sont pas viables. 

Mais personne ne fait rien parce que c’est plus commode de remettre à plus tard, de transmettre la patate chaude aux suivants… 

Tout ceci ne peut conduire qu’à une crise financière, économique et politique.

C'est semblable à ce qui s'est passé dans les années 1970…

Le Dow Jones a commencé la décennie à environ 800. Il l'a terminée autour de 800. 
Mais entre-temps, le dollar a perdu environ la moitié de sa valeur. 

Les investisseurs ont subi une perte de 50 % sans même s'en rendre compte. 

Et ce sera probablement bien pire pour vos obligations, et vos assurances… qui dépendent des placements à rendements fixes. Surtout les obligations dans des boîtes surendettées.

Ces placements sont condamnés. Mais il en va de même pour de nombreuses autres obligations, y compris les bons du trésor. 

Oui, le gouvernement effectuera les paiements des coupons….
 
….mais l'argent lui-même ne vaudra plus rien.

Et lorsque la planche à billets entraîne une croissance à deux chiffres des prix à la consommation, la fin du système est proche.

Certes, si vous étiez à la place de M. Macron ou Mme Lagarde, vous pourriez arrêter la planche à billets. 

Mais alors vous mettriez en péril votre carrière, votre retraite, votre réputation et votre propre fortune – et peut-être même votre vie.

Rappelez-vous du banquier central au Japon qui a été assassiné - dans les années 1930 - alors qu'il tentait de freiner la folie.

Imaginez comment les choses se passeront lorsque les aides sociales (RSA) cesseront d’être versées… ou les allocations familiales, le chômage… ou les prêts aux entreprises… 

… et quand il n'y a plus de carburant dans le réservoir… plus de nourriture dans les magasins… plus d'électricité. 

Imaginez le moment où la transition écologique se heurtera à l’inflation.

Que pouvons-nous faire pour nous protéger ?

Nous commençons par un portefeuille de base, qui, selon nous, aidera à protéger votre argent.

Ce portefeuille repose sur notre “trade de la décennie” et un ensemble d'investissements sûrs, conçus pour protéger votre patrimoine contre 1) une crise déflationniste et 2) et une réaction politique inflationniste du gouvernement. 

Si vous aviez joué le"trade de la décennie” de mes associés en 2000, qui était de parier sur l’or, vous auriez fait x5.

Bien entendu, nous souhaitons à nouveau réaliser des gains importants… ou du moins essayer. 

C’est pourquoi nous sommes très chanceux d'avoir des analystes expérimentés, qui travaillent depuis des années dans l'investissement - et vivent de leurs placements en Bourse - comme Tom Dyson (un ancien analyste de la banque Citi) et Chris Mayer (un ancien banquier d'affaires, et gérant de fonds pour une poignée de millionnaires).

Je vous présenterai certaines de nos opérations récentes dans un instant. 
Résumons ce que nous faisons en quelques mots. 

Voici des réussites récentes de mes analystes.

En décembre 2020 et juillet 2021, Tom Dyson a repéré des actions qu’ils pensaient susceptibles de profiter de la situation.

Voici ces positions avec son prix de vente. 

Vous verrez que le gain moyen est de 131 %. 

C’est vrai que le marché-actions dans l’ensemble a grimpé sur cette période. Mais pas autant. 

Le CAC 40 a grimpé de 19 % pour la période.
Je vous donnerai accès à 3 actions précises aujourd’hui.
L'un de nos analystes a recommandé d'acheter un portefeuille d'actions minières - 11 actions précises - en mai et octobre 2020.

Ce portefeuille d'actions a généré un gain moyen de 76,28 % quand il les a vendues 2 ans plus tard… contre 44 % pour le CAC 40. 

Mais je veux vous parler de Chris Mayer... l'analyste qui a généré les idées de placements que je vais partager avec vous aujourd'hui.

Chris Mayer trouve des sociétés que nous pourrons garder pour plus d'un an au moins. 

En fait… l'horizon est illimité. 

Chris garde une société jusqu'à ce qu'un changement interne ou externe vienne remettre en cause sa capacité à générer des retours. 

Son scénario préféré est de rester sur des positions pendant 5 ou 10 ans. Voire ne jamais vendre et encaisser des dividendes.

Donc si vous nous rejoignez aujourd’hui, vous aurez accès à une sélection de 3 actions - que nous pensons représenter des placements assez solides et prometteurs pour le plus grand nombre de nos lecteurs.

Chris bat le marché à plate couture depuis des années

Pendant 10 ans d’affilée, il a généré un retour annuel moyen de 28,84 %, selon un cabinet d’études indépendant. 

C'est à peu près le double de ce qu’a fait Warren Buffett, par exemple, sur la même période.

Depuis octobre 2018, quand il a lancé son projet le plus récent, il a placé les particuliers dans des actions qui ont largement récompensé les actionnaires… 

Il a acheté les parts d’une banque régionale américaine… en hausse de 201 % entre octobre 2018 et mars 2024.

Et l’action d’un groupe informatique basé en Suède… en hausse de 500 % depuis son IPO en seulement 2019... et un gain de 50 % pour Chris depuis son achat du titre.

Il a acheté l’action d'un fournisseur de pièces automobiles… qui a grimpé de 337 % sur la période (et 106 % depuis son achat).

Ses résultats moyens l'année dernière... en 2023... étaient d'un gain de 39,8 % sur ses positions actives... soit deux fois et demi la performance du CAC 40.

Et Chris ne détient pas uniquement des actions américaines... ni des sociétés de technologie... mais il compte parmi ses placements des sociétés de pétrole et de gaz... un groupe de casinos basé en Suède... une chaîne de magasins en Pologne... un groupe de transport routier... 

Et l'approche de Chris consiste à conserver une poignée d'entreprises avec des signes de croissance en exponentielle au fil du temps... avec beaucoup de marges sur les ventes.

Notre approche "trois-tiers" à l'allocation de patrimoine

Je veux aussi vous parler des recommandations que nous avons données aux abonnés de notre Lettre HB depuis notre lancement...

Nous avons recommandé un portefeuille “trois-tiers” composé en majorité de devises – surtout euros ou dollars – et d'actifs tangibles comme l’or.

L’or est actuellement en hausse de 36 %, en euros, sur trois ans. Pas mal pour une “relique !”

Nous avons aussi recommandé de vous placer sur le pétrole et le gaz. 

Nous avons simplement recommandé un tracker. Pas de prise de risque sur des petites sociétés. Pas d’options. 

Ce tracker sur le pétrole enchaîne les gains... et atteint un prix de 10.113 $ la part en  mars 2024... contre 5.658 $ la part au moment de notre introduction de la transaction... soit une hausse de 79 %... sur un actif délaissé par les banques et détesté des dirigeants.

Bref… nous sommes depuis des mois en train de rechercher… et de dénicher des opportunités capables de décoller et de vous protéger face à l'inflation.

Voici ce que vous recevrez en nous rejoignant aujourd'hui… 

*** Votre accès à 3 recommandations que nous faisons dans les actions…

*** Un mise à jour mensuelle de notre analyse sur la Bourse et l'économie - un dossier d'une dizaine de pages que nous appelons la Lettre HB - éditée par Simone Wapler ou moi-même

*** Une section supplémentaire, que nous venons d'introduire à nos mensuelles, avec un suivi des derniers commentaires et nouveautés - de la part de Chris Mayer - au sujet des 3 actions en Bourse que nous partageons à présent dans la Lettre HB

*** Une nouvelle version mise à jour de mon livre, La Descente aux enfers de la France en 5 étapes, qui fait une centaine de pages, et que j'ai pas proposé depuis plus d'un an - afin de faire des ajouts et des mises à jour des commentaires et données

*** Bien d'autres dossiers spéciaux, interviews, et analyses que nous n'avons jamais partagé de manière aussi accessible...

À quel prix ? 

Normalement… dans le monde des lettres d'information… on essaye de diviser le plus possible les conseils et les experts. 

Ainsi, essayer de vendre plusieurs services différents… et ainsi faire plus de ventes. 

Et normalement, les conseils de Chris Mayer coûteraient bien 2.000 euros par an. 

Ceux de Tom Dyson aussi. 

Ajoutez-y mes autres experts, et nous essaierions, tout compte fait, d’obtenir 10.000 euros par an si vous souhaitiez vraiment tous nos conseils que nous avons à proposer. 

Mais nous avons décidé de faire autre chose. 

Nous n’allons pas du tout demander 10.000 euros. Ni même 2.000 euros.

À la place, nous allons vous proposer un prix que nous pensons très raisonnable. Et donc qui ne devrait pas être un obstacle sérieux. 

Et en plus, c’est un prix qui prend en compte le fait que nos conseils pourraient bien ne pas faire leurs effets tout de suite, par exemple.

Nous ne pouvons jamais savoir si dans le court terme, nous aurons raison. Notre conviction est sur le long-terme.

Je vous pourrais donc vous donner accès à tout ceci pour seulement 499 euros par an.
Mais je vais encore plus loin. Je vous propose la chose suivante : 

Recevez une réduction de 250 euros.

Je réduits le prix à la moitié de ce que j'ai proposé auparavant... 

Soit 249 euros… au lieu de 499 euros. 

De plus... même sans compter les mises à jour que vous recevrez sur les 12 prochains mois... vous recevrez déjà - ici et maintenant - des dossiers et conseils qui valent en excès de votre prix d'adhésion...

C’est-à-dire qu'avec seulement toutes les informations que vous recevrez dès aujourd’hui… et sans compter tout ce que vous allez recevoir sur la prochaine année que va durer vos adhésion... vous serez déjà très largement bénéficiaire.

BONUS : Les actions qui peuvent vous rapporte 100 fois votre mise, selon Chris Mayer

Ce dossier – exclusif ici – contient le rendu d'années d'observation et d’expérience dans la Bourse par Chris Mayer, un ancien banquier d’affaires.

Il fait partie de la liste de dizaines de dossiers que je sors de mon archive - en les rendant pour la première fois accessibles au plus grand nombre de mes lecteurs.

Des particuliers paient à Chris des frais de 1,5 % pour gérer leur patrimoine. 

Le montant minimum pour investir avec lui est d’un million d’euros. Soit 15.000 euros de frais de gestion, au minimum. 

J’estime donc que ses recherches sur les actions qui sont capables de multiplier votre argent par 100, et comment les trouver, vaudraient bien le prix standard de 499 euros pour ce service. 

Mais vous le recevez gratuitement aujourd'hui... avec tout le restant de l'archive que j'ai décidé de débloquer pour vous.

Ces dossiers vaudraient facilement 1.000 euros, selon une estimation conservatrice. 

Ils contiennent l'intégralité de mes entretiens avec les 4 experts que j’ai interrogés…

Des interviews disponibles nulle part ailleurs avec …

***Bill Bonner… fondateur d'une multinationale employant des centaines de personnes… et l’auteur de deux best-sellers sur l'économie américaine et la dette…

***Chris Mayer… l'un des meilleurs du monde en stock-picking qui a battu Warren Buffett pendant 10 ans d'affilée… et qui gère de l’argent pour des millionnaires…

***Byron King… géologue éduqué à Harvard… et l'ancien assistant au Chef des opérations navales de l’armée américaine…

***Simone Wapler… ex-ingénieure devenue commentatrice de l’économie, auteure de nombreux livres, et éditrice de notre lettre mensuelle, la Lettre HB….

Ces entretiens exclusifs avec de tels experts pourraient bien être vendus, à eux seuls, pour 199 euros. 

(J'ai déjà vu des médias comme Le Monde proposer des "ateliers web" avec un seul expert pour plus que cela). 

En bref… ce que vous paierez pour accéder à nos services et conseils pendant 1 an sera déjà largement rentabilisé dès l’instant où vous nous rejoindrez. 

Par contre, je ne peux pas offrir de remboursements si vous acceptez de continuer avec nous. 

C’est trop difficile pour moi de vous offrir cela. Cela encouragerait aussi certaines personnes qui ne prennent pas cela au sérieux d'essayer d'accéder à ces informations gratuitement... ce qui me paraît injuste envers les personnes motivées.

Maintenant, c’est à vous de choisir. 

Un BONUS supplémentaire urgent – “Le prochain métal précieux à exploser après l'or ?"

Une dernière chose… j’aimerais vous envoyer les détails d'une opportunité qui pourrait s'avérer extrêmement rentable…

C’est une spéculation…

Dans les dernières années... les perturbations des confinements et de la réouverture créent des tourments - en particulier dans les métaux et matières premières.

Nous avons vu le prix du Nickel exploser de 166 % sur une semaine…ce qui a fait chavirer l’échange de Londres… le forçant à suspendre les opérations.

Un autre type de métal sera peut-être encore plus affecté… 

Et notre analyste Tom Dyson vient d'ajouter ce métal à notre portefeuille de base... en recommandant d'y placer autour de 5 ou 10 % de votre patrimoine d'investissement. 

Il y voit une alternative à l'or... avec peut-être plus de potentiel de hausse en raison d'un désintéressement de la part des investisseurs.

Je vous enverrai ce dossier spécial sur cette opportunité immédiate - elle pourrait même s'évaporer d’ici deux semaines ou un mois. 

Mais à présent… à vous de choisir.

Si vous cliquez sur le bouton en bas de cette page… vous aurez accès à un résumé de cette offre… et de tout ce que vous recevrez en bonus si vous acceptez.

Voici ce que me disent des lecteurs comme vous...

“Tout d'abord je voulais vous remercier pour la qualité de vos publications. N'étant qu'un humble artisan un peu spécialisé je n'ai jusque là utilisé que l'auto-formation et la diversification de mon savoir-faire comme moyen d'augmenter mon capital et mes revenus.

“Toutefois, étant novice dans le bateau de la finance (si j'ose dire), c'est avec grand plaisir que j'étudie vos analyses. J'y retrouve une opinion réaliste sur l'époque que nous traversons et ma courbe d'apprentissage dans le domaine financier augmente de manière satisfaisante à mon goût.

“...Merci pour ce beau travail, je ne regrette pas un centime investi dans votre abonnement.”
- Gilles K.

"Félicitations sur ce début réussi, et merci pour tout le travail que vous faites pour nous aider à éviter la grosse perte, et gagner un peu d'argent !" - Bertrand F.

"Je suis si contente d'avoir décidé de rejoindre ce groupe. Merci."
- Victoria B.

"Je vous remercie pour l'information que vous m'envoyez en tant qu'abonné." 
- E.R. 

"Lecteur depuis seulement un an. Mais jamais déçu." 
- Jean T.

"C'est divertissant. Et éducatif." 
- Achilles Y.

"Je me suis abonné à de nombreuses newsletters depuis des années, j'aime le plus la vôtre. Merci de produire autant de bonnes analyses."
- Thomas M. 

Une dernière chose : une réduction spéciale de 70 euros

Une dernière chose...

Pour vous encourager à saisir cette chance... au lieu d'attendre...

J'ai décidé d'ajouter une réduction supplémentaire au prix d'adhésion à ce service.

Elle réduit le prix d'adhésion de 70 euros, en guise de promotion de ce lancement.

Ensuite, le prix de ce service va augmenter. Donc vous pouvez attendre, si vous le voulez.

Mais vous le ferez pour un prix plus élevé si vous attendez d'agir après cette date.

De plus, si vous prenez cette offre spéciale... alors vous pourrez renouveler ce service dans un an - si vous souhaitez continuer - au même tarif spécial.

Donc vous épargnez de frais d'adhésion tout de suite... ET dans les années à venir si vous décidez de continuer à bénéficier du service.

Vous pouvez à présent accéder au site qui contient les informations dont vous avez besoin pour nous rejoindre.
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