Notre stratégie pour protéger votre argent... Et, pour la première fois,... les noms de 3 actions en Bourse que vous pouvez mettre en portefeuille...

Mon groupe connaît du changement au fil du temps…

Et je mets à présent en place un changement à mon offre de base… le niveau de nos conseils que toute personne peut appliquer…

Avec ce niveau de conseil… vous trouverez…

*** Un dossier d’introduction avec les détails de notre stratégie au global… dont notre portefeuille « trois-tiers » - une manière de mettre votre argent à l’abri au travers une poignée de placements, à la portée de tous – et d’autres recommandations et conseils sur comment préparer votre patrimoine à un Krach ou encore une dévaluation de l’euro et un gel des comptes en banque…

*** Une mise à jour mensuelle avec nos dernières analyses, au travers environ une dizaine de page d’analyse sur l’évolution des marchés - que nous nommons la Lettre HB - … en plus d’alertes sur des changements à notre stratégie…

*** Une poignée d’actifs spécifiques que nous recommandons à tout lecteur d’acheter… comme un métal précieux – qui n’est ni l’or ni l’argent – dans lequel nous voyons un potentiel plus élevé de gains...

Vous aurez aussi les informations pour vous placer sur un secteur dans nos viseurs – des sociétés à dividendes en hausse, et peu appréciées du marché-actions…

*** D’autres interviews, conseils spéciaux, et solutions pour mettre votre argent à l’abri de l’emprise des dirigeants…

Et, une tout nouvelle chose dont vous allez bénéficier… pour la première fois depuis notre création… et qui explique la raison pour laquelle les conditions d’accès à la Lettre HB évoluent aussi pour la première fois depuis 3 ans.

*** Un échantillon de 3 actions – de la part de notre analyste Chris Mayer – qui figure jusqu’ici uniquement dans les recherches les plus avancées que nous produisons…

Ces actions intègrent à présent notre cercle de base… à laquelle vous pouvez avoir accès aujourd’hui… et vous aurez ainsi des informations exclusives sur notre analyse de ces placements, en plus de mises à jour au fil du temps au sujet de l’évolution des titres en question.

Je vais vous expliquer dans un instant mes raisons d’inclure ces actions dans notre service accessible à tous… et la raison pour laquelle ces actions peuvent vous permettre d’atteindre à la fois des retours sur votre argent ET conserver beaucoup de sécurité dans vos placements.

Plus vous aurez…

*** Un accès à une dizaine d’autres dossiers et interviews spéciales, que je n’ai jusqu’ici partagé qu’avec une poignée de gens… 

Pour la première fois, les abonnés à notre cercle de base - la Lettre HB - vont avoir accès à ces analyses et commentaires…

ET aussi :

*** Pour vous permettre de mieux comprendre notre approche... Je vais vous débloquer les analyses exclusives au sujet d’une de nos recommandations passées - que nous avons désormais vendue -, le groupe Bolloré.

L’idée est de vous permettre de voir le fonctionnement de notre approche au travers d’un exemple réel – en vous exposant à la fois notre recommandation, avec notre analyse au moment de l’achat du titre, le 2 juillet 2021 -, puis lors de notre vente de l’action, le 23 mars 2022. 

Ainsi, vous pourrez voir un exemple d’une de nos recommandations passées, et mieux comprendre notre approche aux placements en Bourse.

De plus, vous recevrez - avec votre autres éléments d'introduction - les 7 dossiers que j'ai récemment créés et qui partagent des échantillon de notre analyse pour nos abonnés, sur la dernière année.

Ces dossiers comprennent :

*** Dossier 1 : Notre portefeuille ‘trois-tiers’ – les raisons à notre approche pour la recherche de sécurité – avec un potentiel de gains sans beaucoup de prise de risque

*** Dossier 2 : notre « transaction de la décennie », un exposé d’analyses de notre groupe au sujet de la production de pétrole et de gaz – et que nous prévoyons de conserver jusqu’en 2030, voire au-delà (je vous montrerai comment nous avons déjà doublé notre argent avec une recommandation à faible risque sur le secteur)

*** Dossier 3 : l’or – nos raisons d’accorder autant de notre patrimoine à l’or, et comment le métal fournit à la fois une protection contre les dangers des marchés, et de dévaluation de la devise, en plus de potentiel de gains dans la situation d’aujourd’hui

*** Dossier 4 : pourquoi le scénario d’une Stagflation sème la terreur, à la fois chez les dirigeants, et dans le monde de l’investissement, et pourquoi les décisions des banques centrales et des gouvernements créent le risque d’un retour aux conditions des années 70…

*** Dossier 5 : Pourquoi notre approche à l’investissement vise la « sécurité maximale » avec nos placements, et nous mène à la méfiance envers les modes d’investissement du moment, comme l’IA, l’hydrogène, ou la plupart des cryptos…

*** Dossier 6 : réponses à des questions de nos lecteurs… Vous verrez par exemple la réponse de mes analystes à « que penser des actions sur l’or, plutôt que l’or physique ? » ou alors, « Comment rééquilibrer un portefeuille pour mettre en pratique l’approche trois-tiers ? », ou « Quel sera l’impact des directives ESG sur les actions de l’énergie ? » ou bien « Pourquoi vous servir d’un tracker pour parier sur l’énergie, plutôt qu’une poignée d’actions ? »… Vous verrez la réponse de mon équipe à ces types de questions de la part de lecteurs comme vous.

Dans ce dossier, vous trouverez aussi des extraits de deux interviews… avec mon co-fondateur Bill Bonner – un multimillionnaire, et l’auteur de plusieurs best-sellers sur la finance –… et avec un expert réputé dans le fonctionnement du système bancaire, Grant Williams.

*** Dossier 7 : une réflexion sur le sujet du l’activité de l’investisseur – et les différences avec le travail pour un salaire -, à l’occasion du décès de Charlie Munger, connu en tant que « architecte » du succès de Berkshire Hathaway, la société d’investissement de Warren Buffett.

Cette proposition vous ouvre l’accès… pour la première fois… à un grand nombre de recherches et d’analyses que je n’ai pas partagées jusqu’ici en-dehors d’un petit cercle de quelques dizaines de personnes.

Mais peut-être le plus important – en termes de changement à notre fonctionnement –, nous allons à présent partager avec vous les noms de 3 actions qui font, jusqu’ici, partie de notre cercle d’élite… des recommandations en actions de notre expert, Chris Mayer.

Pour vous présenter les idées de Chris au sujet des placements, vous allez aussi recevoir une interview exclusive que j’ai réalisée avec lui – au sujet de son approche à l’investissement.

Il y explique :

*** Les 3 éléments-clés qu’il examine dans la sélection d’une action en Bourse

*** Les 2 principaux dangers qui guettent tout entreprise, en particulier après une cotation en Bourse

*** Le conseil de Warren Buffett au sujet de la diversification, et l’intérêt de détenir des actions au lieu d’un tracker sur un secteur
 
*** Les places boursières où Chris trouve le plus d’opportunité – et les régions où il reste à l’écart

*** Trois « indicateurs rouges » qui signale un danger dans une action

*** Comment l’acquisition d’autres entreprises par une société peut générer des revenus en exponentielle au fil du temps – et comment détecter les signaux d’opportunités, ou au contraire de dangers – dans les acquisitions

*** Comment reconnaître le moment de vous séparer d’une action en portefeuille, ou, au contraire, conserver une position malgré un déclin du titre

Je vous partagerai plus bas les réussites et qualifications de Chris dans sa carrière... pour vous expliquer les raisons de notre confiance en sa stratégie.

Je vais aussi vous ouvrir l’accès à une réserve de documents exclusifs – que je n’ai jamais partagés en-dehors d’un petit groupe fermé de lecteurs…

Vous aurez ainsi accès à tout ceci : 

*** Un dossier spécial avec les recherches de Chris Mayer au sujet des trois recommandations d’actions que je vous enverrai

Vous aurez une série d’interviews de mes archives avec…

*** Mon co-fondateur Bill Bonner, un des principaux actionnaires d’une société cotée en 2021 à plus d’1 milliard $ de valorisation… et auteur de best-sellers sur l’économie et la finance...

*** Byron King, géologue diplômé de Harvard, et ancien attaché au directeur des Opérations maritimes de l’armée américaine

*** Jim Rickards, ancien directeur légal chez LTCM, et le principal négociateur pour la société lors de l’intervention de la Réserve fédérale en 1998 – la première dans l’Histoire

*** Rick Rule, plus gros actionnaire d’une société d’investissement les minières et valeurs pétrolières, avec plus de 10 milliards $ d’actifs sous gestion

*** Et d’autres encore…

Vous recevrez cette archive d’interviews exclusives avec tous les autres éléments que je vous enverrai tout de suite…

PLUS encore une dernière chose…

J’ai récemment mis à jour un "livre" que j’ai retiré de la vente depuis plus d’un an… afin de mettre à jour les données – et vous fournir un peu plus d’informations pour vous aider à comprendre notre analyse.

Ce livre – que je vous enverrai en format PDF et ePub (pour votre liseuse) – vous permet d’entrer dans le détail de notre vision du monde… et comprendre le sens des tendances en cours, en particulier sur le plan de la monnaie et des banques centrales…

Ce livre m’a pris plus de temps de préparation que tout autre dossier ou information que j’ai présentée jusqu’ici… et vous y trouverez… dans cet ouvrage de près d’une centaine de pages… un exposé – comme je ne l’ai vu nulle part ailleurs – du problème au cœur de la monnaie-papier et du contrôle de la planche à billets par les autorités...

J’intitule de document : La Descente aux enfers de la France en 5 étapes… et vous allez y trouver une collection d’informations et de détails sur l’histoire de la monnaie, et l’émergence des banques centrales… afin de montrer – noir sur blanc – l’étendue des dégâts et déformations qui résultent des décisions des gouvernements...

En clair… ce livre – que je vous enverrai par voie électronique – contient…

*** Pourquoi l’Union européenne prend exemple sur les Empires coloniaux – et crée les mêmes types d’échecs (p. 4)

*** L’an 1800 et les crimes à l'origine de la banque centrale (p. 12)

*** L’importance de la Bulle des chemins de fer, et de la Révolution de 1848 sur le fonctionnement de la monnaie-or et la mise en place du monopole de la Banque de France (p. 15)

*** Le cas des trois Décennies perdues au Japon, et la leçon pour les politiques de relance en Europe (p. 36)

*** Le programme de l’UE à l’origine de plus de 100 milliards d’euros d’obligations par an depuis 2021… avec un objectif de 150 milliards d’euros d’endettement en 2024 (p. 38)

*** La crise de 1929, et la mise en place des politiques de relance (p. 39)

*** Le changement de donne pour les emprunteurs à risque (le high yield) et l’ère des taux en hausse (p. 45)

*** La réalité sur les hausses des cours des actions – et comment l’évolution de l’once d’or révèle la source des gains en Bourse (p. 47)

*** Le cas d’une hyperinflation, dans un pays proche de la France, dans les années 90 – et comment elle entraîne la désintégration d’un gouvernement… les coupures de courant… et le pillage du matériel des hôpitaux (p. 51)

*** La situation au Liban, et comment les autorités créent plus de mesures pour la spoliation des particuliers, au fil et à mesure de la dévaluation de la devise (p. 53)

*** Comment la dévaluation de la livre libanaise mène à une chute de plus de 90 % des salaires – comptés en dollars – en seulement 5 ans... (p. 56)

*** Le fonctionnement de la Bulle de la Compagnie du Mississippi en 1716… où le gouvernement met à profit une manie chez les investisseurs pour le financement des déficits du gouvernement (p. 57)

*** Comment le gouvernement d’un pays du Levant limite l'accès par les citoyens à leur propre épargne en banque à 4.800 $ par an… dans le but de conserver le contrôle (p. 66)

*** L’histoire de l’infiltration des gouvernements par le milieu des criminels – et le lien avec les révolutions les plus meurtrières de l’Histoire… (p. 76)

*** Le désastre de l’arrivée au pouvoir de Mitterrand et du programme de relance du début des années 80 – et l’avertissement sur les mesures en cours (p. 78)

*** Comment un petit nombre de gens touche le gros de la manne des rachats de 341 milliards d’euros d’obligations d’entreprises par la BCE (p. 80)

*** Le scénario de crise dans lequel un pays peut basculer vers l’usage d’une devise étrangère – comme le dollar ou le yuan, et comment il pourrait survenir chez nous (p. 88)

*** L’éclatement d’une union monétaire européenne – dont vous n’avez peut-être pas entendu parler – dans les années 90, et comment des projets semblables ont pris fin dans l’Histoire... (p. 93)

Vous recevrez ce livre par voie électronique… en format PDF et en format e-pub, pour vous permettre de lire avec plus de facilité sur votre Kindle (ou autre).

Vous aurez une version du livre avec des mises à jour et ajouts spéciaux afin de tenir compte des retombées depuis la publication du livre début 2021…

C’est la toute première fois que je propose cet ouvrage, La Descente aux enfers de la France en 5 étapes, depuis plus d’un an… et c’est la première fois que je propose cette version mise à jour, en tenant compte de l’évolution de la situation dans l’économie à mars 2024.

Je surveille de près les marchés depuis quelque temps… plus de 10 ans, en fait. J'ai commencé comme courtier en Bourse et responsable de communications d'une société d'investissement avec ses clients et prospects... via un blog spécialisé sur l'industrie minière et les métaux précieux.

Et bien sûr, si vous me suivez depuis quelque temps, vous avez une idée de l’énergie et du sérieux de nos efforts d’analyse et de recherche…

La raison pour laquelle nous changeons notre manière de fonctionner...

Mon équipe a mis au point un plan d’action pour les particuliers… le tout disponible aujourd’hui… de manière totalement nouvelle - et 100 % gratuite - du moment que vous acceptez de rejoindre une classe spéciale de mes lecteurs.

Je peux vous envoyer... pour la toute première fois... une poignée de noms d'actions en Bourse que nous suivons... avec nos analyses à leur sujet... le tout inclus avec ce que je propose.

Les actions que nous avons vendues dans les derniers mois ont rapporté des gains de 161 %... 181 %... ou 128%... (je vous présenterai plus de détail sur nos recommandations un peu plus tard).

Tandis que le CAC 40 grimpait de seulement 16 % en 2023...

C’est parce que nous avons correctement anticipé certains de changement les plus importants dans les marchés... 

Nous disions… dès le lancement de notre service que...

“les autorités tentent de provoquer l’inflation…”

Et nous pensons que dans un avenir proche… 

...en dépit des apparences de calme et de retour à la normale...

Les problèmes de devise menacent de ressurgir... hors des gonds.

Oui... dans un avenir peu lointain... nous verrons des paquets de jambon à 100 euros au supermarché… et du beurre à 50 euros, si vous arrivez à en trouver.

Votre facture d’électricité continuera à monter… à 1.000 euros par mois… 

Mais certaines choses que nous verrons seront encore pires que cela…

Et nos élus vont être totalement incapables de vous aider. 

Au contraire, ils alimentent le problème.

Le litre de diesel sera de plus en plus cher. Il atteindra bien plus de 20 euros.

Ce n’est plus seulement une question d’imprimer de l’argent pour soutenir l’économie.

Les élus sont en train de pousser des initiatives dangereuses… pour mettre fin au pétrole, au gaz, et même au nucléaire (même s'ils ne le disent pas). 

L'exploration pétrolière est interdite. Le dernier champ de gaz européen est en train d’être fermé… alors même que l’économie souffre d'une pénurie de ces produits !

La production de pétrole et de gaz en Europe a chuté de moitié depuis l'an 2000… La production n’a pas été aussi faible en plus de 40 ans.

Tout cela coûtera des sommes immenses.

La banque d'affaires Morgan Stanley lui attribue un prix de 50.000 milliards $. 

Soit 45.000 milliards d’euros.

Mais ce n’est pas seulement une question d’argent… ou de prix.

Cela remettra en cause nos manières de vivre à tous.

Le pire reste sans doute à venir. 

Il suffit que la météo soit plus froide que d’habitude sur 1 ou 2 mois… ou d’une grande vague de chaleur.  

Et notre système d'électricité… à la merci de panneaux solaires et d’éoliennes… va s'écrouler.

Tout à coup, votre congélateur et votre frigo arrêtent de marcher. 

Même chose pour le supermarché, et les poids-lourds réfrigérés. Le plus gros des aliments sera perdu.

En même temps… sans chauffage et sans lumière… vous devrez compter sur le feu pour vous chauffer… ou des bougies pour vous éclairer.

Pas de moyen de charger votre ordinateur ou smartphone. Comment ferez-vous pour appeler les secours ? Ou savoir si le froid va s’arrêter ? 

Il y a des gens qui mourront, ici en France… comme lors d'une très grande canicule…
Le diesel ne circulera plus dans les pompes…
Si nous perdions notre alimentation en diesel, alors, selon des experts, il faudrait environ deux jours pour que les rayons des magasins soient vides…

Ce serait comme au Sri Lanka ou le Liban… où le gouvernement tente d’empêcher les queues pour les stocks de carburants et d'autres types de biens de base... et où les autorités sont en faillite.

Au Liban, le gouvernement vient de donner accès aux citoyens à leur propre épargne... pour la première fois depuis des années... mais pour une grande partie de la population, le gouvernement limite les retraits à 400 euros par mois, et environ 4.500 euros par an.

Et ces personnes-là ont le plus de chance... puisque les autres ont perdu quasiment la totalité des épargnes lors de la dévaluation de la devise à hauteur de 95 % en 5 ans...

Ces événements, en France, représentent une mauvaise nouvelle, surtout si vous êtes une personne âgée… ou vivez seul…

Quelles entreprises pourront continuer à marcher ? 

Combien de temps faudrait-il pour un effondrement de notre civilisation ? Peut-être un mois… voire moins.

La violence, le chaos… la mise à feu de véhicules… d’immeubles… peut-être de quartiers tout entiers…

Peut-être même une révolution.

Mon but est de vous montrer les deux grandes raisons pour lesquelles les coupures du courant, pénuries de biens en rayons, et des explosions de prix au-delà de l'expérience récente de la réouverture, risquent fortement de se produire…

Et pourquoi ce problème ne sera pas qu’un petit pépin de passage… mais un changement à nos modes de vie.

Je vous dirai aussi ce que vous pouvez faire…
 
Il ne s’agit pas d'une simple série d’erreurs et de faux-pas de la part des élus ou de l’UE.

Tout cela est dirigé… contrôlé… et même - en partie - voulu par des groupes puissants qui sont aux commandes.

Vous ne verrez rien de cela dans les grands journaux. Vous n'en verrez rien sur les plateaux de télévision… Leur but sera plutôt de défendre les auteurs du désastre…

Nous sommes, moi et mes experts, peut-être les seuls à pouvoir identifier et expliquer cette situation et ses effets.
Mes associés, et moi, nous ne sommes pas des analystes en Bourse ou des économistes ordinaires.
Nous évitons la publicité et les faisceaux des infos. Nous gardons profil-bas. Mais nous sommes parmi les gens les mieux connectés… et les mieux placés pour voir venir cette crise…

L’un de mes associés a par exemple suivi des études de droit à l'Université de Georgetown… 

C’est une institution réputée pour avoir également formé des gens proéminents comme l'ex-président américain Bill Clinton, l'ancien directeur de la CIA, ou encore l'ancienne présidente des Philippines, Gloria Arroyo.

Un autre de mes partenaires a travaillé dans une grande banque d'affaires à Londres… avant de devenir indépendant. Il vit actuellement de ses propres placements…

C’est dans ses gènes… Son grand-père était à la tête d’une banque anglaise bien connue…

Je travaille aussi avec un ex-gérant de fonds californien… un géologue et économiste diplômé de Stanford.

Il a participé aux fameuses réunions du “Bohemian Grove”… peut-être le club le plus exclusif des États-Unis.

Cela se passe dans les forêts proches de San Francisco… et les téléphones mobiles ne sont pas autorisés…

J’ai côtoyé ces types de milieux également… Quand j’étais au lycée français de Londres, par exemple.

Je vous parle de tout cela parce que ce désastre est lié à ces types de clubs… de réseaux d’entraide et d’influence… et leurs privilèges dans la société…

Le plus impressionnant pour mon équipe… ce sont peut-être les trois grands avertissements que nous avons émis, collectivement, dans notre histoire. 

Le premier était avant ce siècle. L’un des fondateurs de mon petit groupe a prédit – dans ses écrits pour ses lecteurs – que le marché-actions japonais, en plein essor dans les années 80, était survalorisé et voué à l'échec.

Il a averti ses lecteurs : 

“La hausse du marché japonais, en cours depuis longtemps, approche sûrement de sa fin.” C’était en 1988.

Et comme prévu, en 1989, le marché japonais a piqué du nez. Il a souffert d'un déclin de 80 % dont il ne s'est jamais remis.

Ensuite, nous avons prédit que le marché des actions Internet, les dot-coms, était survalorisé et qu’il devait chuter. 

L’un de mes cofondateurs a même averti ses lecteurs le jour-même où le Nasdaq a commencé à chuter.

L’indice a alors chuté de 85%... décimant également des actions françaises bien connues comme Orange (alors France Télécom), qui a chuté de façon spectaculaire de 95 % en deux ans et demi. 

Les actions technologiques ont mis 16 ans avant de récupérer de ces pertes. Et certaines actions ne s’en sont jamais remises.

Notre troisième avertissement est survenu dans les années 2005 à 2007. 

Nous voyions une autre bulle se former, cette fois en lien avec l’immobilier.

L’un de mes associés écrivait, “il existe un feu brûlant qui va emporter le marché immobilier, et il est centré sur les bilans de Freddie Mae et Freddie Mac.”

Les deux sociétés de crédit au logement américaines qu’il nommait ont en effet fait faillite durant la crise qui a suivi.

La chute de la Bourse a démarré en 2007, et s’est poursuivie jusqu'en 2009, date à laquelle elle avait perdu 50 %.

Et les retombées ont duré des années. 

Quelques années plus tard, la Grèce était en faillite et prête à quitter la zone euro.

Un autre pays que nous avons étudié en détail – l’un de mes co-fondateurs y a un bureau depuis 2009 et y détient un vignoble de Malbec -, c’est l'Argentine.

Le pays nous intéresse parce qu’il était l’un des plus riches au monde jusque dans les années 60. Puis il s'est transformé en l’un des plus pauvres.

L’explication à cette chute est la suivante : ce sont les choix des dirigeants. 

Vous avez peut-être entendu parler de Juán Perón… de safemme Évita… ou, récemment, des Kirchner…

Les uns commes les autres, ils ont décidé de taxer lourdement les secteurs productifs, puis distribuer l’argent à leur partisans…

Tout en imprimant de l’argent pour couvrir les déficits.

Les politiciens y sont tous corrompus. 

L’inflation atteint 50 % par an. Un crédit pour un achat immobilier vous coûtera 28 % par an d’intérêts.

Et le revenu moyen est seulement de 6.200 euros par an… c'est encore moins que la Grèce ou la Biélorussie.

Aujourd’hui, nous voyons le même genre de chose prendre racine ici en France.

Mais l’Argentine n'est pas arrivée dans cet état du jour au lendemain. Cela a pris 70 ans. 

Et elle a traversé des crises déroutantes.

Cela a compris des guerres, des coups d’État, le meurtre de milliers de personnes(par le gouvernement), et des taux d’inflation atteignant les 2.000 %.

Alors préparez-vous. Nous sommes au début de ce processus.

Les gouvernements se trompent fréquemment. Ils font des erreurs. 

Mais de temps en temps, ils vont encore plus loin - ils se tournent vers la planche à billets directement pour payer leurs dépenses. 

Cela ne mène pas seulement à des prix plus élevés… mais même à la privation extrême, la famine, voire la Révolution.

À 20 euros le prix du litre, il faut 8.000 euros pour faire le plein d’un réservoir standard de 385 litres - la norme pour le genre de tracteur qu'utilise un agriculteur en France.

Et puis, les agriculteurs verront des pénuries d'équipements et de pièces de rechange.

Ils ne pourront pas se procurer les engrais, les semences, ni les produits chimiques dont ils ont besoin.

Les milliards de personnes qui vivent actuellement sur la planète ne peuvent être nourries que parce que du gaz naturel peut servir à produire de l'ammoniac... dont la demande mondiale a grimpé de 6 % sur les 5 dernières années…

Cet engrais a permis d'augmenter d'un facteur de cinq la production de maïs, ce qui permet aussi de nourrir 5 fois plus de personnes.

BASF, le plus gros producteur européen, vient de réduire de 40 % sa production d’ammoniac en raison de la cherté du gaz. 

Imaginez maintenant que vous soyez à la place de l’agriculteur.

En moyenne, il est endetté à 186.900 euros, d’après l’Insee.

Tout à coup il doit s'en sortir avec un prix pour le litre de diesel de 20 euros. Il n’arrive pas à se procurer ses engrais ni les autres produits.

Il pourrait tenter de vendre son exploitation… ou la laisser à la banque…

Qui fera alors pousser du blé? Qui produira du soja ou du colza ?

Vous avez vu ce qui est arrivé à l'économie quand le covid est arrivé. Maintenant, essayez d’imaginer ce qui peut se passer avec des hausses de prix - pour les biens en rayons, les voitures, les carburants, les factures d'électricité - de 50 % par an !

Quel agriculteur voudra dépenser de l'argent pour acheter des semences, engrais, matériel ? Quel homme d'affaires voudra investir dans une société ? 

Lorsque vous allez au magasin… vous trouvez des ruptures de stock… dans les céréales… le lait… les oeufs…

Vous trouverez une étagère sur deux vide.

En Argentine, l'élection d'un président libertarien arrive après des années de tumulte et de dégradation de la situation...

Et les contraintes sur la population en général - au nom de la santé ou de la sécurité - cause parfois des conséquences sérieuses pour des individus.

Dans un cas ces dernières années, une personne que nous connaissons, en Argentine, nous a dit qu'il était en mauvais état.

Il s’était ouvert l'abdomen dans un accident. 

Il avait survécu, mais il avait désespérément besoin de la visite d'un infirmier ou un médecin.

Mais toutes les routes étaient fermées pour empêcher aux gens de circuler – à cause du covid.

Heureusement, il avait sa famille. Et ils ont fait de leur mieux. Mais ils n'avaient pas du tout les compétences requises.

Une infirmière a pu finalement leur rendre visite… mais n'avait même pas de quoi dresser la plaie.

Il a survécu. De très peu.
 
Certes, si vous n'avez pas de besoins immédiats… si vous êtes en bonne forme physique… vous pouvez vous en sortir.

Mais sinon, vous pouvez vous faire emporter dans la vague… un de plus pour les statistiques.

Tous les jours, ce sera un nouveau problème dans les infos… Un nouveau scandale.

Mais les boîtes bien connectées toucheront des prêts garantis… de la part du contribuable.

Le gouvernement distribue des chèques… au nom de l’inflation… ou la guerre… ou un autre sujet.

Vous verrez dans les infos que les riches abandonnent le pays… les taxes forcent les sociétés à fermer. Le chômage augmente.

Nous ne sommes pas encore arrivés à ce point. La situation ne semble pas encore aussi grave… parce que nous sommes encore au début. 


Les gens ne sont pas encore inquiets. Au contraire.

Ils parient sur les cryptos... l'IA... 

Les cryptos… elles ont beau représenter un mystère pour la plupart des gens… et pourtant elles valent 2.000 milliards d’euros. 

L’action de Tesla peut perdre 235 milliards $ rien qu’en une journée – soit l’équivalent des valorisations de Ford, Renault, et BMW tous ensemble.

L'action Nvidia - à 2.000 milliards $ - vaut plus que la totalité du secteur du pétrole et du gaz du S&P 500... mais génère environ le huitième des bénéfices !

Le rythme de la progression des prix reste autour des niveaux le plus élevé en 40 ans. 

Et pourtant le gouvernement de Macron dépense 200 milliards d’euros à crédit par an.

Et les autorités comptent faire tourner encore massivement la planche à billets pour payer la Transition écologique et solidaire.

Notre déficit est aujourd'hui de 5 %... à peine plus faible qu'au Liban... où le déficit arriverait autour d'un déficit de 6 % cette année.
 
C’est ce qui arrive quand une société perd la tête…

Ceci pourrait bien surprendre certaines personnes… Vous n'avez peut-être jamais entendu un avertissement de ce type. Et pour cause. 

Pour arriver là où en est mon groupe, il faut avoir à la fois le réseau… les ressources analytiques - les analystes et les données, et les années passées à suivre les économies… et à investir soi-même des sommes conséquentes dans les marchés… pour pouvoir voir la situation telle que nous la voyons.

En fait, nous sommes peut-être les SEULS à pouvoir émettre ce genre d’avertissement, je crois.

Mais le plus important qu’il faut retenir de notre présentation, c'est le suivant.

Quand une société perd la tête, alors, les gens - à l’intérieur de la société - perdent à peu près tous la tête en même temps.

Prenez l’Allemagne des années 30….

Quand les Nazis ont saisi le contrôle, il n’a fallu qu'une période de mois pour que tous les grands journaux, les grosses sociétés, les cours de justice, les politiciens, et même les organismes religieux, se rangent de leur côté.

Il devenait impossible d’avoir un point de vue opposé.

C’est pour cette raison que moi et mon groupe, nous avons quitté le monde traditionnel de la gestion de fonds et des services financiers.

Nous ne pourrions pas défendre ces points de vue si nous devions travailler pour un grand journal, groupe médiatique, ou institution financière.

Nous pouvons vous délivrer ce message seulement parce que nous choisissons de rester indépendants.

Vous n'entendrez certainement pas ce genre de choses de la part du Figaro ou du Monde.

Ces types de journaux auront toujours le même point de vue que les élites. À deux ou trois choses près.

Et les élites n’ont pas envie qu’un autre point de vue que le leur soit distribué et pris au sérieux. 

Ce n’est pas parce que nous vous avertissons d'une chute boursière… ou d’un épisode d'inflation élevée. 

Ce n’est pas cela qu'elles trouvent inadmissible. 

Ce qu’elles ne peuvent pas supporter, c’est que nous remettons en cause à la fois leurs compétences, mais aussi leur autorité, leurs motivations, et leurs qualifications.

Je parle de grandes écoles comme l’ENA, polytechnique, ou HEC, par exemple. Ainsi que des grandes sociétés privées, qui ont presque toujours l’État comme client.

Ou encore des Think Tanks qui produisent les études et les statistiques, afin de soutenir les projets décidés par les élites.

Mais cette élite a tant pompé l’argent des contribuables et des épargnants, pour soutenir les renouvelables, et d’autres projets de ce genre, que nous sommes maintenant pris au piège.

Il s’agit de la dette publique. Elle est évaluée à 2.834 milliards d’euros… et nous ne pouvons pas la rembourser.

Il est peut-être tentant de penser que cette situation inédite est seulement due au virus. Et qu’elle va se résorber une fois que tout sera sous contrôle d’un point de vue sanitaire…

Mais ce n’est pas toute l'histoire. Il faut suivre là où va l’argent.

Dans certaines situations, comme à St Pétersbourg, en 1917… ou à Berlin en 1936… ou à Pékin en 1948… votre vie est vouée à prendre un tournant désastreux.

En Russie, le gouvernement tsariste avait multiplié la quantité d’argent en circulation d’environ 5 fois afin de payer la Première guerre mondiale. Par conséquent, le rouble a chuté.

La Révolution Bolchévique suivait juste derrière.

En Allemagne, l’hyperinflation des années 20 a entraîné des perturbations dans la production et distribution de biens.

De plus, l’occupation de la vallée du Ruhr, où se produisaient beaucoup de biens, par la France et la Belgique, a laissé les Allemands avec un sentiment de dégoût.

Et des extrémistes de tout bord ont exploité ces sentiments. Parmi eux, Hitler et les Nazis ont été victorieux.

En Chine, la masse monétaire a grimpé de 91 fois entre 1943 et 1946. 

Elle a ensuite grimpé de 6 fois en 1947. 

En 1937, le taux de change de la monnaie était de 3,4 yuans le dollar. Quand Mao Zedong a pris le pouvoir en 1949, c'était 23 millions de yuan le dollar.

Naturellement, cela a entraîné une explosion des prix constante durant ces années. 

Les problèmes d'approvisionnement en biens, causés à la fois par la guerre, mais aussi par la planche à billets, ont entraîné des pénuries à environ tous les niveaux. 

La situation économique en Chine était si chaotique que la plupart des Chinois ont accueilli avec enthousiasme la victoire des Communistes.
Quand l’argent se met à dérailler, il emporte tout avec lui.
Quand l’argent se dégrade de la façon la plus sévère… comme au Zimbabwe ou au Venezuela par exemple… alors il vaut mieux ne pas être dans les parages.

Et c’est pour cette raison que nous avons décidé de vous faire cette présentation.

L’important pour vous et votre patrimoine, c’est d’être au bon endroit au bon moment. Et il faut à tout prix éviter certains endroits, à certains moments de l’Histoire.

Si nous avons raison, alors vous devez absolument faire des changements importants– mais relativement faciles - afin de vous assurer de ne pas être au mauvais endroit.

En fait, le monde tel que vous le connaissiez d'avant… dans lequel vous avez grandi et fait votre vie… va arriver à sa fin.

Ce n’est pas une prédiction que nous faisons à la légère. C’est la quatrième grande prédiction que nous ayons faite, mon groupe réuni… 

Et cela pourrait même s'avérer être la dernière grande prédiction que nous ferons.

Collectivement, nous avons émis quatre prédictions majeures dans notre histoire.

La première était à la fin des années 1980, et mon co-fondateur disait à répétition que le “miracle japonais” n’était en fait pas si miraculeux. 

On lui a même offert un livre, en gag, intitulé “Comment j’ai prédit l'effondrement de Japan Inc.,” signé de son nom - Bill Bonner. 

Mais en 1989, il a eu raison sur tout.
 
Nous voici à présent 33 ans plus tard. Le marché japonais n'a toujours pas récupéré ses niveaux historiques.

Ce cofondateur de notre groupe était le premier de mon équipe à émettre une grande prédiction de ce genre. Mais nous avons continué à en émettre au fil des années. 

En 1999, nous disions que les actions internet allaient piquer du nez.

Et ensuite, nous disions entre 2005 et 2007 que le marché immobilier américain était voué à la crise.

Ces prédictions n'ont pas reçu beaucoup d’attention médiatique à l'époque.

Mais à présent, nous espérons que cette prédiction-ci arrivera aux gens comme vous à temps… et que vous y ferez attention… même si vous ne nous connaissez pas encore très bien.

Parce que cette prédiction est vraiment la mise en garde majeure de toutes nos carrières collectives en tant qu’analystes, économistes, et investisseurs.

Avant que cette situation n’arrive à sa conclusion, nous prévoyons de voir les épiceries, grandes-surfaces, et commerces, ajuster leurs prix toutes les semaines afin de tenir compte de l’inflation.
Les gens recevront leur solde et iront la dépenser au plus vite.
Voyez, rien de tout ceci n'est mis en place du jour au lendemain. Cette situation est en préparation depuis longue date.

Et nous-même, nous avons observé son évolution depuis plusieurs décennies. 

L’un de mes co-équipiers a par exemple travaillé chez Airbus de nombreuses années… 

Elle a pu voir de près comment des gens proches des milieux politiques arrivent souvent à monter les échelons, même dans une entreprise en principe privée.

Un autre membre de mon groupe a travaillé à Washington, DC, où s'est déroulée une grande partie de cette saga.

Le système financier actuel est quelque chose de très différent… et de très nouveau, par rapport à ce qu’il était avant.

Les ‘startups’ européennes ont obtenu plus de 100 milliards d’euros de la part d’investisseurs capital-risque, en un an…

Le tout pour des sociétés dont la plupart n'a jamais généré un centime de bénéfice… malgré des milliards d'euros d'investissements.

Et malgré la bonne fortune de certains… la plupart des gens semblent tomber en arrière, financièrement.

Le PIB par habitant en France est en baisse de 15 % depuis 2008. Cela suggère qu’il y a moins de richesse qui se crée qu'avant. Que les gens dans l’ensemble sont moins prospères.

Le pouvoir d’achat, qui était massivement en hausse dans les années 60 et 70, est de plus en plus stagnant.

Le nouveau système économique et financier est contrôlé par un cercle assez restreint de personnes…

Ce sont des avocats… des lobbyistes… des membres du Parlement Européen, ou de l’Assemblée. La presse. Les universitaires. Les gens du milieu de la finance.

Et ce que je décris n'est pas un complot, dont le secret est bien gardé. Tout cela se produit en vue de tous. C’est juste qu'assez peu de gens le reconnaissent. 

Les élites vous disent ainsi que l’inflation ne va durer que "quelques mois," par exemple. C’est “temporaire,” ou“transitoire,” répètent-elles. Cela alors que la situation s’éternise.

Elles nous disent aussi que les coûts sont simplement dus aux problèmes de transport. 

Elles nous disent qu'en empruntant plus d'argent… avec plus de stimulus monétaire… elles peuvent faire tourner plus rapidement l'économie. 

Et nous permettre ainsi à tous d’avoir un meilleur mode de vie… sans avoir à nous soucier de rembourser(la croissance arrangera les choses, après tout).

Toute cette manière de fonctionner est vouée à l'échec. 

Mais il n'est pas possible de changer de trajectoire maintenant. 

Si vous ne deviez retenir qu’une seule chose aujourd’hui, c'est ceci : nous approchons de la plus grande crise économique et sociale qu'ait jamais connue la France.

En comparaison, la Dépression des années 30, ou la stagflation des années 70, ou même la crise immobilières de 2007-2008 et la crise euro de 2011 ne sont qu'un avant-goût. 
 
Ce sera pire que tout ce que nous avons vu depuis un siècle. 

Cette prochaine crise sera bien plus sérieuse que les précédentes, et même que toutes celles-ci réunies.

C’est pour cela que tout ceci est si urgent. 

Les bulles financières, payées par la dette, finissent toujours par éclater. Et celle-ci ne sera pas l’exception.

En 1999, la France avait de la dette privée en circulation équivalente à 170 % de son PIB. 

En 2008, propulsée par le boom de l’immobilier, la dette atteignait 203 % du PIB. 

Mais en 2020, après 10 ans de stimulus monétaire et de manipulation des taux d'intérêts, qui étaient censés relancer l'économie, la dette privée a atteint 296 % du PIB. 

C’est-à-dire que la dette des ménages et des entreprises a grimpé plus de deux fois plus rapidement que la croissance économique depuis 20 ans. 

Et c’est sans prendre en compte la dette publique, qui a grimpé tout aussi rapidement sur la période.

Si vous ajoutez la dette privée et celle du gouvernement, la dette totale s'élève à 411 % de la taille de l’économie en 2020… soit plus de 9.000 milliards d’euros… 

En comparaison, tout l’or de la Banque de France, qui a la quatrième réserve au monde, a une valeur de 133 milliards.

Environ 1,5 % de ce montant. La valeur totale de toutes les terres agricoles en France est d’environ 1,6 % de la dette.

En 2023, le déficit atteint 5 % du PIB… et le gouvernement a déjà annoncé qu’il resterait supérieur à 3 % du PIB jusqu’en 2027... et sans doute pour des années au-delà.

Dans les 20 dernières années, le PIB a augmenté d'environ 1.640 milliards d’euros. 

Le PIB en France atteint 2.640 milliards d’euros en 2022… contre un peu plus de 1.000 milliards d’euros en l’an 2000.

L’endettement du gouvernement, quant à lui, s’est accru beaucoup plus que cela… passant de 60 % du PIB en 2000… soit environ 800 milliards d’euros… 

...à 3.088 milliards d'euros à fin 2023... soit 113 % du PIB.

La dette est évidemment hors de contrôle…

Et dans quel but avons-nous mis toute cette dette sur nos dos ? En avons-nous eu pour 2.300 milliards d'euros de nouveaux ponts, aéroports, ou autoroutes ? 

Tout ce que nous avons, ce sont des caisses de la SÉCU sur le point d’éclater… des compagnies nationales aux finances désastreuses... des Prêts Garantis qui seront remboursés dans 10 ans… 

Notre ardoise arrive bien en ce moment à un point critique. Elle doit être payée.

C’est pour cette raison que nous sommes convaincus qu'une grande crise financière est proche… 

Elle est peut-être même imminente.

Nous ne pouvons tout simplement pas continuer à nous gaver de dette de la sorte. 

Et nous ne pouvons pas non plus simplement nous arrêter. Nous ne pouvons pas nous en sortir indemnes. 

Parce que nous nous sommes trop habitués à la dette.

Il ne s’agit pas que d’une question de PIB ou de quelques actions qui chutent en Bourse. Il s’agit de votre manière de vivre toute entière qui est enjeu.

Par exemple, vous aurez peut-être envie de vous acheter une voiture.

Mais attendez un peu de voir le prix. Elle ne coûtera pas 30.000 euros. 

Ce sera plutôt 300.000 euros pour un modèle de base. Vous serez peut-être obligé de continuer à rouler dans votre vieux carrosse… même si c’est un diesel polluant.

Dans les 24 derniers mois… en fait, depuis l'arrivée du virus en Europe… quelque chose de fondamental a changé. 

À présent… après 40 ans où les taux d'inflation étaient en baisse… 

...nous voyons les prix se remettre à grimper... et le problème dure au-delà du resserrement de la vis... 

En dépit d'une chute des prix de l'énergie... et dans l'immobilier... les hausses de prix en rayons tirent le coût de la vie en hausse de plus de 3 % par an...

Et les obligations de long-terme du Trésor français paient à présent des taux de plus de 3 % par an... contre moins de 0,1 % fin 2020... 

Les hausses de prix mènent déjà à un changement des comportements chez les investisseurs... et indiquent une défiance par rapport aux obligations des gouvernements avec de fortes dettes, et des besoins en financements. 

Rien qu'en 2024, le gouvernement a besoin de 160 milliards d'euros de prêts pour le roulement des dettes à maturité au cours de l'année.

On a l’impression que tout a changé.

Les statistiques montrent que le problème des hausses de prix n'a pas pris fin... 

En effet... les salaires rattrapent les hausses du coût de la vie avec un temps de retard... mais la plupart des salariés travaillent dans les services. 

Les employeurs ajustent ainsi les tarifs et honoraires à la hausse. 

Selon l'Insee, pour les services hors eau, loyer, collecte d'ordures, services de santé, transports et communications, le rythme de hausse sur un an atteint 4,2 % à décembre 2023... et explique le rebond en fin d'année du rythme de la progression des prix. 

Et à la différence des hausses de prix dans l'alimentaire ou les énergies, ces types de hausses de prix ont bien plus d'impact sur la durée... 

Pour quelle raison ? 
 
Parce que les salaires ne baissent jamais. 

Imaginez que vous soyez payé 10 euros nets de l’heure pour tenir la caisse dans une boulangerie à Paris. 

Votre patron a du mal à trouver des employés, et il est obligé de vous payer 13 euros.

Pensez-vous que ce salaire puisse maintenant redescendre à 10 euros ? 

Une fois que les salaires ont grimpé, les hausses ne peuvent pas être résorbés.

Or, les salaires viennent de grimper de 4,6 % sur un an, en 2023...

La banque centrale est prise au piège. Elle n’a pas d’issue potentielle. 

La Banque centrale européenne est face à un choix très simple. Soit elle peut continuer à faire marcher la planche à billets...

Ou alors, elle doit cesser de créer de l’argent, et alors provoquer une récession et un effondrement de la Bourse.

Le gouvernement peut-il en réalité revenir en arrière sur son “bouclier tarifaire,” par exemple ? 

Peut-il permettre aux coûts de l’électricité de refléter la réalité du marché, après qu'ils aient commencé à contrôler les coûts ?

Saviez-vous, par exemple, qu’en 1981, les taux sur les crédits immobiliers étaient de 18,6 % ? 

Aujourd’hui, le taux moyen sur un emprunt à 20 ans est de 4 %... et vous voyez le début de l'effondrement en cours dans les transactions sur la pierre.

En 2023, le nombre de ventes baisse de 22 % par rapport à 2022.

Mais combien d'emprunteurs arriveront à refinancer leur emprunt à un taux de 18,6 % ? 

Au début des années 80, la Banque de France a fait le choix du “Tournant de la rigueur.” 

Et cela a marché.

Le problème, aujourd’hui, c’est qu'il n'est plus possible d'y mettre fin.

Depuis 2018, le gouvernement français a empilé la somme de 700 milliards d’euros de dette par-dessus ce qu'il avait déjà.

La France, c’est le pays le plus endetté de toute la zone euro…

Le groupe Euler Hermès estime qu'il faudra plus de 60 ans pour que la France rembourse le seul surplus de dette qu'elle a endossé en raison du virus.

Notre dette dépasse celle de l'Allemagne d'environ 600 milliards d’euros…

Pourquoi cela explique-t-il les hausses de prix en vue ?

L’inflation est nocive pour les épargnants… Cependant, elle est globalement une bonne chose pour les sociétés ou les nations les plus endettées, comme la France.

L’inflation réduit le poids réel de la dette. Parce que les euros que vous utilisez pour rembourser valent moins que ceux que vous aviez empruntés au départ !

Ce sont donc en chef lieu les États comme la France… dont les finances sont les plus désastreuses… qui sont les premiers à bénéficier de l’inflation.

À l'heure où j'écris... les prix grimpent de 3 % par an... mais la France émet des obligations à 30 ans maturité avec à peine plus de 3 % d'intérêts. 

En prenant en compte la hausse des prix, la dette porte ainsi un coût de près de 0 %... avec ce rythme d'évolution des prix.

Donc, plus longtemps dure la hausse des prix... sans plus de resserrement de taux par la Banque centrale... moins le remboursement de la dette crée un problème pour les autorités !
Mais pourquoi avons-nous toute cette dette, finalement ? 
C’est à cause de 20 ans d'investissements ratés.

Le sauvetage des banques pendant la crise de 2008… 360 milliards d’euros.

L’Environnement, atteignant une dépense totale de l’ordre de 1.000 milliards d'euros sur 20 ans en France.

Vous avez les quelque 700 entreprises sous contrôle de l’État – comme La Poste, la RATP, la SNCF, ou EDF. Le gouvernement éponge de temps à autre leur dette et la met sur le compte du contribuable.

Ou encore, vous avez le “quoi qu’il en coûte,” estimé à 240 milliards d’euros. 

Entre 2000 et aujourd’hui, la dette publique a grimpé de 2.300 milliards d’euros.

Qu’avons-nous générés comme retour sur tous ces investissements ? Rien. Zéro.

Et à présent, il est impossible de rembourser toute cette dette.

L’inflation est la seule issue qui reste pour s'en débarrasser de manière ordonnée.

Certaines des personnes les mieux placées… y compris des gens proches du président ou des ministres - comme les patrons de sociétés favorisées ou autres -… vont s’en sortir avec des sommes fantastiques.

Mais pour la plupart des gens, ce sera un désastre total, dont ils ne se remettront jamais. 

Nous n’allons pas vous appeler à soutenir un programme politique.

L’un de nous a par ailleurs essayé. En se présentant aux élections européennes.

Mais l'UE ne permet pas la présentation de son parti aux élections pour des raisons techniques...

2008 marque peut-être le début du tournant dans les fortunes des Français.
 
C’est à ce moment-là que les niveaux de vie des Français… et leurs revenus ont cessé de grimper.

Vous verrez aussi ci-dessous que les actions du Dow Jones - rapportées à la valeur d'une once d'or - n'ont pas grimpé depuis la crise de l'an 2000...
Les bases du ralentissement remontent à la fin des années 90.

C’était à ce moment-là que le marché-actions a fait des records qu’il n'a pas vus pendant les 20 prochaines années.

De plus, à la fin du 20ème siècle, l’économie de la France a cessé de produire des biens – des tracteurs ou des pneus, par exemple…

Les usines se sont installées à l’étranger. 

Les sociétés françaises qui ont pris la place étaient dans le “tertiaire.” Les services. L’hôtellerie. Le divertissement. Le tourisme.

L’industrie a perdu près de 2 millions d’emplois entre 1980 et 2007. Soit plus de 30 % de ses effectifs.

Et la consommation d'électricité baisse à présent au fil des ans...

Ce n’est pas seulement une question de quelques politiques mal-choisies.

C’est bien plus profond que cela.
C’est une corruption qui va au cœur de la France, et même de tout le bloc européen.
EDF a fait face à plus de 20 milliards d’euros de pertes pour la facture du "bouclier tarifaire…" 

Et la solution du gouvernement - la nationalisation - garantit plus de retards, surcoûts de construction des centrales, et pertes en raison de l'inefficacité des bureaucrates.

Les mêmes élites sont actives au niveau européen. 

En 2021, le budget de l'Union européenne a augmenté de 80 % pour atteindre 1.800 milliards sur le prochain septennat.

En 2023, l'UE émet plus de 100 milliards d'euros d'obligations - au nom des citoyens de la zone... et elle prévoit au moins 150 milliards d'euros de dette pour 2024.

La part des exportations de biens et services issus de la France, parmi les pays de l’UE, ne cesse de baisser depuis 20 ans.

Selon un économiste intervenu dans Le Monde, les dépenses sur la Recherche & Développement sont 50 % moins importantes en France qu'en Allemagne, Belgique, ou Autriche.

Et selon la Banque européenne d'investissement, l’adoption numérique est inférieure en France comparé au reste de la zone euro, et aux États-Unis, dans tous les grands secteurs.

Et avez-vous remarqué? Pas un seul des vaccins n’est “Made in France.”

Les 2 objectifs de mon groupe d'analystes

Nous avons deux objectifs… et deux seulement.

La première est d'essayer de comprendre… de façon profonde… ce qui est en train de se produire. 

Et deuxièmement, nous essayons de découvrir les façons de nous protéger et de générer des bénéfices avec nos analyses.

C’est ce que nous appelons la “Confluence.” Nous commençons en essayant de savoir ce qui se produit au niveau global.

Puis nous ciblons nos recherches sur des manières précises d'en profiter.

Nous recherchons le point de “Confluence…” comme lorsque deux rivières se rejoignent. 

Devriez-vous acheter des obligations ? Des actions ? Garder votre argent en euros ? Ou acheter de l’or ? 

Ces questions générales ne vous paraissent peut-être pas très importantes. 

Beaucoup de gens pensent qu’il faut à tout prix tomber sur le prochain Bitcoin ou Amazon pour gagner de l’argent.

Mais en réalité, c'est votre allocation globale qui fait le plus de différence dans votre portefeuille.

En fait, en vous servant de deux actifs seulement - l’or, et le Dow Jones, qui est le plus ancien indice boursier - une approche très simple aurait permis de battre massivement le marché. 

Voyez, à 6 reprises, depuis 1913, un investisseur aurait pu prendre une décision simple pour se protéger ou alors faire fructifier son portefeuille.

Et il n’avait pas besoin d'acheter autre chose que l’or, ou le Dow Jones, pour le faire.

Les résultats de ces 6 opportunités sur les 109 dernières années sont résumés dans ce tableau.
Tout cela pour vous montrer que la décision la plus importante à prendre, ce n’est pas toujours quelle action acheter.

Mais simplement, être au bon endroit au bon moment. Et éviter d'être au mauvais endroit au mauvais moment.

Il ne fallait pas se trouver à Beijing en 1959, par exemple. Ou à St Pétersbourg en 1917.

Notre approche simple, qui n’utilise que l’or et un tracker du Dow Jones, aurait permis de transformer 100 $ en 32 millions $ sur la période de 1913 à aujourd’hui, comme vous pouvez le constater.

Nous sommes depuis 1998 dans une période où il faut avoir de l’or, à la place du Dow Jones. 

Comment savoir quand ce sera le moment de changer ? 

C’est un indicateur qui permet de savoir si les actions sont sous valorisées, ou sous-valorisées, par rapport à l'or.

Et qu’est-ce qu’il nous dit en ce moment ? 

Que l’or devrait continuer à surperformer les actions pour encore quelques temps.
Donc nous essayons tout d’abord de savoir généralement sur quels actifs il faut être en ce moment.

Une des leçons à retenir aujourd'hui : à travers l’Histoire, il y a toujours eu des surprises.

Ce ne sera pas la première fois que cela arrivera :

*** Le 20 janvier 1948, le franc Mayer fut dévalué de 80 %. Le cours du dollar américain passe instantanément de 119 à 214 francs !

*** En 1958, le franc est à nouveau dévalué de 37,55% par le Général de Gaulle.

*** Durant les 3 premières années de Mitterrand au pouvoir(1981-1983), le franc est successivement dévalué 3%, 5,75% puis 8%.

Toutes ces dévaluations n'ont nécessité qu’uncoup de crayon. Aucune discussion à l'Assemblée Nationale. Pas de vote. Aucune approbation requise.

Et toujours sous le couvert d'une urgence : la reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, la Guerre d’Algérie, ou la récession de 1980.

Et le prochain prétexte à l'urgence, il est tout trouvé.

Nous avons vu ce qui s'est passé dans "l'urgence" du Covid 19. Les entreprises ont fermé. Des industries entières sont passées sous respirateur artificiel. 

Et en France, la dette a explosé. Dans le “quoi qu’il en coûte,” il y a par exemple 143 milliards d’euros de Prêts Garantis.

Et pour éviter tout embarras, le gouvernement a déjà reporté à 10 ans le terme des prêts. En gros, pour donner à l'inflation le temps de rogner les montants.
Tout ce nouvel argent a été créé sans vote… sans acte de l'Assemblée Nationale… et sans débat.
Alors que se passera-t-il la prochaine fois ?

La crise - même s’il ne s’agissait que d'une simple correction du marché boursier - sera gérée comme les dernières l'ont été… de la Grande Dépression et de la Seconde Guerre mondiale, au renflouement des banques en 2008, et à la crise de Covid. 

Avec plus de dépenses, des taux d'intérêt plus bas et toujours la planche à billets.

D’accord… mais quel est le problème, demandez-vous ? Après la Seconde Guerre mondiale, nous avons eu les 30 Glorieuses.

Peut-être que la France prospérera aussi après la prochaine crise ?

Mais la Seconde Guerre mondiale a connu une fin.

À la fin de la guerre, le déficit français était massif et la dette totale pesait 200 % du PIB. Mais le déficit s'est rapidement réduit quand la guerre a pris fin. 

Et simultanément, l’économie avait une croissance moyenne de 6%. 

En 1974, le budget était excédentaire d’un équivalent de 6,7 milliards d'euros actuels.

Aujourd'hui, il n'y a aucune chance que le budget redevienne excédentaire. 

En effet : il n’y a pas d’après-guerre pour mettre fin aux dépenses. 

Il n'y a pas d’armistice en vue. Pas de défilé de la victoire. 

Et donc, pas de limite à la planche à billets. La dette est trop importante. Même sans crise, la dette française augmente de plus de 170 milliards d’euros par an.

Donc, la dévaluation va suivre son cours. 

Ensuite, à moins que la Banque Centrale ne force volontairement les pays-membres à la récession, nous verrons les prix augmenter de 20 %... 50 % par an.

Vous irez refinancer votre maison et vous vous sentirez chanceux d'avoir négocié un remboursement à 9.000 euros par mois. 

Un jour… peut-être dans 2 ans… peut-être 4 ou 5… alors que vous vous rendez à la station-essence… 

Vous faites un détour pour éviter un groupe de manifestants/casseurs qui brûlent des pneus au milieu d’un carrefour. 

Vous ne voulez pas risquer qu’ils vous barrent la route. Ils pourraient vous sortir de votre voiture et vous tabasser à mort en plein jour. 

Et puis, quand vous voyez le prix à la pompe, vous avez vous-aussi envie de faire un massacre !

Vous n'avez payé que 8 euros pour litre de gazole la semaine précédente. Maintenant, c'est 11 euros.

Vous vous résignez à payer, jusqu’à ce que vous vous apercevrez que la cuve est vide. 

Les principaux dirigeants s’étaient fixé comme objectif de réduire de moitié les émissions de CO2 avant 2030.

Cela coûterait 150 000 milliards de dollars, avait déclaré la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen. 

Mais l'accès à des énergies de faible coût fait partie des nécessités pour les niveaux de vie... en France et autour du monde.

Il y avait moins de 2 milliards de personnes sur Terre en 1900.
 
Ils n'utilisaient que 50 exajoules d'énergie. 

C'est le pétrole qui a permis de nourrir, vêtir et loger près de 8 milliards de personnes. Aujourd'hui, le monde utilise 11 fois plus d'énergie… pour subvenir aux besoins d'environ 4 fois la population. 

Enlevez le pétrole, le gaz et le charbon : que mangeront ces 6 milliards de personnes supplémentaires ? Où vivront-ils ? Comment vont-ils se chauffer ?

Mais en 2022, les « énergies renouvelables» ne représentaient, en fait, qu'environ 2 % de l'énergie primaire dans la monde...

Même après 4 décennies d'investissement et de développement. 

En d'autres termes, l'énergie « renouvelable» ou « verte » ne fait vivre qu'environ 800 millions de personnes. 

Et les pays qui génèrent le plus d'électricité... ont aussi les coûts d'énergie les plus élevés. 

Le Danemark, avec plus de 50 % de son électricité à base d'éolien, a aussi le prix d'électricité le plus élevé de quasiment tout pays au monde... 

Et quant à la France... une étude montre que le déclin du nucléaire - au profit des renouvelables - résulte en une augmentation des coûts de courant... ET dans une hausse des émissions de carbone !
Supprimez le diesel….et nous commencerons à connaître les pénuries, partout. 
Les véhicules électriques sont subventionnés. Les moteurs à combustion interne sont pénalisés… voire interdits. 

Nos centrales nucléaires sont en cours de démantèlement. 

L’exploration pétrolière est au plus bas depuis 73 ans. On ne fore pas de nouveaux puits de pétrole. On ferme des oléoducs. On abandonne les réservoirs de stockage. 

En théorie, l'énergie « verte » est formidable. 

En pratique, il est impossible de développer suffisamment de capacité de production et de stockage à partir d'énergies renouvelables

pour remplacer la production électrique issue du nucléaire, gaz, charbon, ou pétrole… qui ont fait leurs preuves et qui savent répondre à la demande. 

Alors, que va-t-il se passer ?

A priori, l'approvisionnement en énergie – dont une grande partie provient de sources « renouvelables » fortement subventionnées, inefficaces et contrôlées de manière centralisée – paraîtra suffisant. 

A posteriori, le système se révèlera rigide et fragile - comme l'économie soviétique. 

Puis, par une nuit particulièrement froide… sans soleil… et sans vent - et des températures tombant en dessous de zéro dans la moitié du pays - tout s’arrêtera. 

Dans le bâtiment, on a encouragé le passage au chauffage tout électrique. C'est « plus vert » disaient nos dirigeants. Mais lorsque le courant sera coupé… que feront-ils ? 

Tant que l’électricité ne sera pas rétablie dans le réseau, plus aucune lumière ne sera allumée, plus rien ne bougera. Les gens se mettront à paniquer. 

Après quelques semaines, le courant sera rétabli dans la majeure partie du pays… et les gens compteront leurs pertes. 
Des milliers de personnes – pour la plupart des personnes âgées - seront mortes… de maladie… ou de faim. 
Tuyaux percés. Toilettes fissurées. Animaux Disparus. Caves inondées. Plafonds abîmés.

La crise financière… se transformera en crise énergétique… puis en crise politique. 

Ce sera la plus grande crise que nous ayons jamais vécue. 

Mais que faire ? Acheter des actions ? des obligations ? de l’or?

L’un des analystes de mon groupe a travaillé pour une des grandes banques d’affaires de Londres. Il s’appelleTom Dyson. 

Et il ne fait rien d'autre que de dénicher les occasions spéciales sur lesquelles vous êtes susceptible de gagner beaucoup d'argent – sans trop attendre. 

Il vit de ses propres investissements. Et il trouve ces configurations inattendues qui peuvent rapporter beaucoup.

De plus, un autre de mes analystes est considéré par beaucoup comme le meilleur investisseur en valeur de long-terme. Il s'agit de Chris Mayer, un ex-banquier.

Et normalement... je ne partage jamais leurs recommandations d'actions en dehors d'un cercle restreint de quelques dizaines de personnes. 

Mais aujourd'hui... pour la première fois... je vous donne un échantillon de leur travaille.

Avec 3 actions de notre analyse Chris Mayer... un ex-banquier et expert en placements pour la durée dans des entreprises rentables avec une croissance au-dessus de la normale.

Vous avez des cartes à jouer. Certains choix que vous devrez faire ne seront sans doute pas faciles. Et il vous sera plus facile de ne rien faire. 

Mais il y existe beaucoup de manières de se préparer à ce qui vient. 

L’urgence, c’est de protéger votre argent… votre niveau de vie et votre qualité de vie.

Nous sommes confrontés à une urgence financière comme nous ne l' avons jamais vue auparavant. 

C'est pourquoi j’ai réuni toute une équipe -- moi, Simone Wapler, Tom Dyson, Bill Bonner (auteur de deux best-sellers américains sur l’économie, et fondateur d'une importante société de conseil boursier)...

Et Byron King (un géologue diplômé de Harvard), qui est notre expert en placements miniers ou pétroliers. 

Et nous sommes conseillés par le “roi du stock picking”, Chris Mayer. 

Et nous proposons de vous donner accès à des recommandations précises pour préparer votre patrimoine.

Les actions et les obligations sont hors de contrôle… et pourraient s'effondrer à tout moment. Tout comme lors de la Bulle Internet… et de la crise des subprimes. 

Si vous pensez que vous êtes assez intelligent pour chronométrer le marché et l’éviter, je vous souhaite bonne chance. Une fois le Krach commencé, cela pourrait vite mal tourner.

Je crois que cela pourrait être comme 1929 en Amérique ou 1989 au Japon… où les actions ont perdu 80 % de leur valeur… et n'ont pas rebondi. 

Aux États-Unis, il a fallu 27 ans avant que le marché boursier ne se redresse. Au Japon, cela fait 32 ans et la Bourse ne s'est pas encore redressée.

Mais les gens continuent de nous dire : “Je ne suis pas inquiet. Chaque fois que ces investissements ont baissé, je serré les fesses, jusqu’à temps qu’ils remontent.”
Oui… ils remonteront. Mais pas nécessairement de votre vivant. 
Après le boom des années 1960, il a fallu deux décennies pour que les actions se redressent (en comptant l'inflation). 

Même après le crash du Nasdaq en 2000, les investisseurs ont attendu 17 ans pour revoir les anciens sommets (toujours en ajustant pour l'inflation). 

Même avec la fin de l'hystérie sur le virus... les dépenses continuent. Rien ne met fin aux déficits. Ils grimpent même de près de 10 milliards d'euros en 2023... par rapport à 2022. Et en 2024, peu de changement. Le gouvernement prévoit 145 milliards d'euros de déficits... mais les projections prennent en compte un retour de l'économie à la croissance - et ainsi une hausse des taxes !

Si une crise disparaît… une autre prend la place. Après le vitras... c'est pour contrer M. Poutine… ou encore pallier aux pénuries... ou encore relancer l'industrie... ou contrôler le climat.

Il y a toujours un "cas particulier". Il y a toujours urgence… et toujours une raison de dépenser plus que ce que vous ne pouvez vous permettre. 

Et quand vous pouvez simplement faire marcher la planche à billets, la tentation de le faire est irrésistible.

Quelle sera la prochaine« urgence ? » Un krach boursier ? Un hiver froid ? Une nouvelle variante du Covid ? Ou la guerre en Ukraine ? 

Le prix des crédits-carbone grimpe inlassablement. Il a doublé par rapport à 2020... et grimpé de 20 fois par rapport à 2016. Les investisseurs savent que l’UE ne remettra jamais en cause le dogme climatique. 

Quoi qu’il arrive, l'élite ne va jamais lâcher les rênes.

En 1966, le PDG typique d'une grande entreprise gagnait environ 20 fois plus que son employé moyen. 

Depuis, la rémunération des dirigeants a augmenté de plus de 1 000 %... tandis que les salaires ont augmenté d'environ 12 %. 

Alors maintenant, un PDG gagne environ 278 fois plus que l'employé.

L'élite d'aujourd'hui est une classe à part… une caste de personnes qui lisent les mêmes journaux et assistent aux mêmes séminaires et conférences et sont allées dans les mêmes écoles : Sciences Po, l’ENA, etc.

Les 1% les plus riches ont à eux seuls gagné 150.000 euros CHACUN sur une période de 3 mois en 2021… et 9 millions d’euros par ménage entre 2020 et 2021. 

Le ménage moyen chez les 1% possède un patrimoine égal à 32 478 000 euros par ménage. 

En d'autres termes, ils ont beaucoup à perdre. Et ils feront tout pour l'empêcher.

La dette c'est ce qui permet aux initiés, en connivence avec le gouvernement, de continuer à dépenser l'argent qu'ils n'ont pas pour protéger leur propre pouvoir et fortune.

N'oubliez pas que le budget de l’État est la principale source de financement pour toute la caste de l'élite.

En France, depuis 1997, on a recruté 1 014 000 fonctionnaires supplémentaires, pour un total de 5,6 millions de fonctionnaires ! 

Tout ça pour une population active de 29,6 millions !

M. Macron aurait pu rejeter la politique ratée des années précédentes… et faire quelque chose de complètement différent. 

Mais l'a-t-il fait ?

Bien sûr que non. C'est ce qui maintient les initiés au pouvoir… et protège sa richesse. Pas question qu'ils y renoncent. 

Le budget - financé par la planche à billets – ne cesse de croître. 

M. Hollande n’a rien fait pour rattraper M. Sarkozy. Et M. Macron n’a rien fait pour rattraper M. Hollande. 

Pas de changement de direction. Mêmes politiques fiscales. Mêmes politiques monétaires. 

Le gouvernement n'a pas de carte de crédit. Il a des dettes. Et il doit payer des intérêts sur cette dette. 

Les taux d'intérêt sont bas depuis des années parce que les banques centrales les ont maintenus ainsi. Nous payons donc INCROYABLEMENT PEU d'intérêts sur notre dette. 

Par exemple, en 2020, le gouvernement a dépensé environ 34 milliards d’euros en paiements d'intérêts de la dette aux détenteurs d'obligations. 

En 2023, en raison de la hausse des taux... et de l'emballement des déficits... le gouvernement paie 55,5 milliards d'euros aux créanciers, en seulement les intérêts !

Tout ceci s'additionne.

Au cours des trente prochaines années, le gouvernement devra payer au bas mot 1 000 milliards d'euros d'intérêts sur notre dette! 

Pour rappel notre dette totale à ce jour s’élève à 3.088 milliards d’euros.

Les intérêts débiteurs constitueront bientôt le deuxième poste de dépense du gouvernement... en dépassant l'Armée et l'Éducation nationale.

La sécurité sociale et l'assurance-maladie resteront premières avec tous les baby-boomers qui prennent leur retraite. Vous voyez le gigantesque problème ? 

Les finances du gouvernement ne sont pas viables. L’INSEE le sait. Tout le monde le sait. 

Mais personne ne fait rien parce que c’est plus commode de remettre à plus tard, de transmettre la patate chaude aux suivants… seulement les suivants, ce seront nos enfants ! 

Tout ceci ne peut conduire qu’à une crise financière, économique et politique.

C'est semblable à ce qui s'est passé dans les années 1970…

Le Dow Jones a commencé la décennie à environ 800. Il l'a terminée autour de 800. Mais entre-temps, le dollar a perdu environ la moitié de sa valeur. 

Les investisseurs ont subi une perte de 50 % sans même s'en rendre compte. 

Et ce sera probablement bien pire pour vos obligations, et vos assurances… qui dépendent des placements à rendements fixes. Surtout les obligations dans des boîtes surendettées.

Ces placements sont condamnés. Mais il en va de même pour de nombreuses autres obligations, y compris les bons du trésor. 

Oui, le gouvernement effectuera les paiements des coupons….
 
….mais l'argent lui-même ne vaudra plus rien.

Et lorsque la planche à billets entraîne une croissance à deux chiffres des prix à la consommation, la fin du système est proche.

Certes, si vous étiez à la place de M. Macron ou Mme Lagarde, vous pourriez arrêter la planche à billets. 

Mais alors vous mettriez en péril votre carrière, votre retraite, votre réputation et votre propre fortune – et peut-être même votre vie.

Rappelez-vous du banquier central au Japon qui a été assassiné - dans les années 1930 - alors qu'il tentait de freiner la folie.

Imaginez comment les choses se passeront lorsque les aides sociales (RSA) cesseront d’être versées… ou les allocations familiales, le chômage… ou les prêts aux entreprises… 

… et quand il n'y a plus de carburant dans le réservoir… plus de nourriture dans les magasins… plus d'électricité. 

Imaginez le moment où la transition écologique se heurtera à l’inflation.

Que pouvons-nous faire pour nous protéger ?

Nous commençons par un portefeuille de base, qui, selon nous, aidera à protéger votre argent.

Ce portefeuille repose sur notre “trade de la décennie” et un ensemble d'investissements sûrs, conçus pour protéger votre patrimoine contre 1) une crise déflationniste et 2) et une réaction politique inflationniste du gouvernement. 

Si vous aviez joué le"trade de la décennie” de mes associés en 2000, qui était de parier sur l’or, vous auriez fait x5.

Bien entendu, nous souhaitons à nouveau réaliser des gains importants… ou du moins essayer. 

C’est pourquoi nous sommes très chanceux d'avoir des analystes expérimentés, qui travaillent depuis des années dans l'investissement - et vivent de leurs placements en Bourse - comme Tom Dyson (un ancien analyste de la banque Citi) et Chris Mayer (un ancien banquier d'affaires, et gérant de fonds pour une poignée de millionnaires).

Je vous présenterai certaines de nos opérations récentes dans un instant. 
Résumons ce que nous faisons en quelques mots. 
Nous analysons la situation dans son ensemble. Nous cherchons des moyens de nous protéger. 

Et grâce au soutien de nos analystes... nous recherchons aussi des manières de générer des retours via des actions... 

Et je vais partager avec vous une sélection de 3 actions... via l'approche de Chris Mayer.

J’écris fréquemment aux lecteurs comme vous... plusieurs fois par semaine.

Mais je pense qu'il est très important que les gens fassent plus que simplement lire ce que j'écris. 

Ce n'est pas censé être un divertissement oisif. Je ne fais que décrypter la situation. 

Mais mes lecteurs doivent faire plus que cela. Ils doivent prendre des mesures pour se protéger. 

Aujourd'hui, les gens n'ont pas besoin de plus d'idées, de plus d'opportunités ou de plus d'informations. 

Ils ont besoin de moins de stimulations. Mais des idées plus nuancées. Et plus cohérentes. 

Cela fait partie d'une approche plus minimaliste que ce que vous pourriez trouver ailleurs. 

Nous n'allons vous envoyer qu'un seul point de vue. Celui de notre équipe entière.

Ce n’est pas comme un journal qui publie des essais avec la mention que cela reflète juste “le point de vue de l’auteur.” 

Non, nous n’envoyons rien que nous ne défendons pas personnellement. 

Et je fais de mon mieux pour vous présenter une seule vision cohérente – de la part de moi-même, et de tous les experts qui sont amenés à travailler avec moi. 

À présent, je vous présente les réussites récentes de mes analystes.

En décembre 2020 et juillet 2021, Tom Dyson a repéré des actions qu’ils pensaient susceptibles de profiter de la situation.

Voici ces positions avec son prix de vente. 

Vous verrez que le gain moyen est de 131 %. 

C’est vrai que le marché-actions dans l’ensemble a grimpé sur cette période. Mais pas autant. 

Le CAC 40 a grimpé de 19 % pour la période.
Je vous donnerai accès à 3 actions précises aujourd’hui.
L'un de nos analystes a recommandé d'acheter un portefeuille d'actions minières - 11 actions précises - en mai et octobre 2020.

Ce portefeuille d'actions a généré un gain moyen de 76,28 % quand il les a vendues 2 ans plus tard… contre 44 % pour le CAC 40. 

Mais je veux vous parler de Chris Mayer... l'analyste qui a généré les idées de placements que je vais partager avec vous aujourd'hui.

Chris Mayer trouve des sociétés que nous pourrons garder pour plus d'un an au moins. 

En fait… l'horizon est illimité. 

Chris garde une société jusqu'à ce qu'un changement interne ou externe vienne remettre en cause sa capacité à générer des retours. 

Son scénario préféré est de rester sur des positions pendant 5 ou 10 ans. Voire ne jamais vendre et encaisser des dividendes.

Donc si vous nous rejoignez aujourd’hui, vous aurez accès à une sélection de 3 actions - que nous pensons représenter des placements assez solides et prometteurs pour le plus grand nombre de nos lecteurs.

Chris bat le marché à plate couture depuis des années

Pendant 10 ans d’affilée, il a généré un retour annuel moyen de 28,84 %, selon un cabinet d’études indépendant. 

C'est à peu près le double de ce qu’a fait Warren Buffett, par exemple, sur la même période.

Depuis octobre 2018, quand il a lancé son projet le plus récent, il a placé les particuliers dans des actions qui ont largement récompensé les actionnaires… 

Il a acheté les parts d’une banque régionale américaine… en hausse de 201 % entre octobre 2018 et mars 2024.

Et l’action d’un groupe informatique basé en Suède… en hausse de 500 % depuis son IPO en seulement 2019... et un gain de 50 % pour Chris depuis son achat du titre.

Il a acheté l’action d'un fournisseur de pièces automobiles… qui a grimpé de 337 % sur la période (et 106 % depuis son achat).

Ses résultats moyens l'année dernière... en 2023... étaient d'un gain de 39,8 % sur ses positions actives... soit deux fois et demi la performance du CAC 40.

Et Chris ne détient pas uniquement des actions américaines... ni des sociétés de technologie... mais il compte parmi ses placements des sociétés de pétrole et de gaz... un groupe de casinos basé en Suède... une chaîne de magasins en Pologne... un groupe de transport routier... 

Et l'approche de Chris consiste à conserver une poignée d'entreprises avec des signes de croissance en exponentielle au fil du temps... avec beaucoup de marges sur les ventes.

Notre approche "trois-tiers" à l'allocation de patrimoine

Je veux aussi vous parler des recommandations que nous avons données aux abonnés de notre Lettre HB depuis notre lancement...

Nous avons recommandé un portefeuille “trois-tiers” composé en majorité de devises – surtout euros ou dollars – et d'actifs tangibles comme l’or.

L’or est actuellement en hausse de 36 %, en euros, sur trois ans. Pas mal pour une “relique !”

Nous avons aussi recommandé de vous placer sur le pétrole et le gaz. 

Nous avons simplement recommandé un tracker. Pas de prise de risque sur des petites sociétés. Pas d’options. 

Ce tracker sur le pétrole enchaîne les gains... et atteint un prix de 10.113 $ la part en  mars 2024... contre 5.658 $ la part au moment de notre introduction de la transaction... soit une hausse de 79 %... sur un actif délaissé par les banques et détesté des dirigeants.

Bref… nous sommes depuis des mois en train de rechercher… et de dénicher des opportunités capables de décoller et de vous protéger face à l'inflation.

Voici ce que vous recevrez en nous rejoignant aujourd'hui… 

*** Votre accès à 3 recommandations que nous faisons dans les actions…

*** Un mise à jour mensuelle de notre analyse sur la Bourse et l'économie - un dossier d'une dizaine de pages que nous appelons la Lettre HB - éditée par Simone Wapler ou moi-même

*** Une section supplémentaire, que nous venons d'introduire à nos mensuelles, avec un suivi des derniers commentaires et nouveautés - de la part de Chris Mayer - au sujet des 3 actions en Bourse que nous partageons à présent dans la Lettre HB

*** Une nouvelle version mise à jour de mon livre, La Descente aux enfers de la France en 5 étapes, qui fait une centaine de pages, et que j'ai pas proposé depuis plus d'un an - afin de faire des ajouts et des mises à jour des commentaires et données

*** Bien d'autres dossiers spéciaux, interviews, et analyses que nous n'avons jamais partagé de manière aussi accessible...

À quel prix ? 

Normalement… dans le monde des lettres d'information… on essaye de diviser le plus possible les conseils et les experts. 

Ainsi, essayer de vendre plusieurs services différents… et ainsi faire plus de ventes. 

Et normalement, les conseils de Chris Mayer coûteraient bien 2.000 euros par an. 

Ceux de Tom Dyson aussi. 

Ajoutez-y mes autres experts, et nous essaierions, tout compte fait, d’obtenir 10.000 euros par an si vous souhaitiez vraiment tous nos conseils que nous avons à proposer. 

Mais nous avons décidé de faire autre chose. 

Nous n’allons pas du tout demander 10.000 euros. Ni même 2.000 euros.

À la place, nous allons vous proposer un prix que nous pensons très raisonnable. Et donc qui ne devrait pas être un obstacle sérieux. 

Et en plus, c’est un prix qui prend en compte le fait que nos conseils pourraient bien ne pas faire leurs effets tout de suite, par exemple.

Nous ne pouvons jamais savoir si dans le court terme, nous aurons raison. Notre conviction est sur le long-terme.

Je vous pourrais donc vous donner accès à tout ceci pour seulement 499 euros par an.
Mais je vais encore plus loin. Je vous propose la chose suivante : 

Recevez une réduction de 250 euros.

Je réduits le prix à la moitié de ce que j'ai proposé auparavant... 

Soit 249 euros… au lieu de 499 euros. 

De plus... même sans compter les mises à jour que vous recevrez sur les 12 prochains mois... vous recevrez déjà - ici et maintenant - des dossiers et conseils qui valent en excès de votre prix d'adhésion...

C’est-à-dire qu'avec seulement toutes les informations que vous recevrez dès aujourd’hui… et sans compter tout ce que vous allez recevoir sur la prochaine année que va durer vos adhésion... vous serez déjà très largement bénéficiaire.

BONUS : Les actions qui peuvent vous rapporte 100 fois votre mise, selon Chris Mayer

Ce dossier – exclusif ici – contient le rendu d'années d'observation et d’expérience dans la Bourse par Chris Mayer, un ancien banquier d’affaires.

Il fait partie de la liste de dizaines de dossiers que je sors de mon archive - en les rendant pour la première fois accessibles au plus grand nombre de mes lecteurs.

Des particuliers paient à Chris des frais de 1,5 % pour gérer leur patrimoine. 

Le montant minimum pour investir avec lui est d’un million d’euros. Soit 15.000 euros de frais de gestion, au minimum. 

J’estime donc que ses recherches sur les actions qui sont capables de multiplier votre argent par 100, et comment les trouver, vaudraient bien le prix standard de 499 euros pour ce service. 

Mais vous le recevez gratuitement aujourd'hui... avec tout le restant de l'archive que j'ai décidé de débloquer pour vous.

Ces dossiers vaudraient facilement 1.000 euros, selon une estimation conservatrice. 

Ils contiennent l'intégralité de mes entretiens avec les 4 experts que j’ai interrogés…

Des interviews disponibles nulle part ailleurs avec …

***Bill Bonner… fondateur d'une multinationale employant des centaines de personnes… et l’auteur de deux best-sellers sur l'économie américaine et la dette…

***Chris Mayer… l'un des meilleurs du monde en stock-picking qui a battu Warren Buffett pendant 10 ans d'affilée… et qui gère de l’argent pour des millionnaires…

***Byron King… géologue éduqué à Harvard… et l'ancien assistant au Chef des opérations navales de l’armée américaine…

***Simone Wapler… ex-ingénieure devenue commentatrice de l’économie, auteure de nombreux livres, et éditrice de notre lettre mensuelle, la Lettre HB….

Ces entretiens exclusifs avec de tels experts pourraient bien être vendus, à eux seuls, pour 199 euros. 

(J'ai déjà vu des médias comme Le Monde proposer des "ateliers web" avec un seul expert pour plus que cela). 

En bref… ce que vous paierez pour accéder à nos services et conseils pendant 1 an sera déjà largement rentabilisé dès l’instant où vous nous rejoindrez. 

Par contre, je ne peux pas offrir de remboursements si vous acceptez de continuer avec nous. 

C’est trop difficile pour moi de vous offrir cela. Cela encouragerait aussi certaines personnes qui ne prennent pas cela au sérieux d'essayer d'accéder à ces informations gratuitement... ce qui me paraît injuste envers les personnes motivées.

Maintenant, c’est à vous de choisir. 

Un BONUS supplémentaire urgent – “Le prochain métal précieux à exploser après l'or ?"

Une dernière chose… j’aimerais vous envoyer les détails d'une opportunité qui pourrait s'avérer extrêmement rentable…

C’est une spéculation…

Dans les dernières années... les perturbations des confinements et de la réouverture créent des tourments - en particulier dans les métaux et matières premières.

Nous avons vu le prix du Nickel exploser de 166 % sur une semaine…ce qui a fait chavirer l’échange de Londres… le forçant à suspendre les opérations.

Un autre type de métal sera peut-être encore plus affecté… 

Et notre analyste Tom Dyson vient d'ajouter ce métal à notre portefeuille de base... en recommandant d'y placer autour de 5 ou 10 % de votre patrimoine d'investissement. 

Il y voit une alternative à l'or... avec peut-être plus de potentiel de hausse en raison d'un désintéressement de la part des investisseurs.

Je vous enverrai ce dossier spécial sur cette opportunité immédiate - elle pourrait même s'évaporer d’ici deux semaines ou un mois. 

Mais à présent… à vous de choisir.

Si vous cliquez sur le bouton en bas de cette page… vous aurez accès à un résumé de cette offre… et de tout ce que vous recevrez en bonus si vous acceptez.

Voici ce que me disent des lecteurs comme vous...

“Tout d'abord je voulais vous remercier pour la qualité de vos publications. N'étant qu'un humble artisan un peu spécialisé je n'ai jusque là utilisé que l'auto-formation et la diversification de mon savoir-faire comme moyen d'augmenter mon capital et mes revenus.

“Toutefois, étant novice dans le bateau de la finance (si j'ose dire), c'est avec grand plaisir que j'étudie vos analyses. J'y retrouve une opinion réaliste sur l'époque que nous traversons et ma courbe d'apprentissage dans le domaine financier augmente de manière satisfaisante à mon goût.

“...Merci pour ce beau travail, je ne regrette pas un centime investi dans votre abonnement.”
- Gilles K.

"Félicitations sur ce début réussi, et merci pour tout le travail que vous faites pour nous aider à éviter la grosse perte, et gagner un peu d'argent !" - Bertrand F.

"Je suis si contente d'avoir décidé de rejoindre ce groupe. Merci."
- Victoria B.

"Je vous remercie pour l'information que vous m'envoyez en tant qu'abonné." 
- E.R. 

"Lecteur depuis seulement un an. Mais jamais déçu." 
- Jean T.

"C'est divertissant. Et éducatif." 
- Achilles Y.

"Je me suis abonné à de nombreuses newsletters depuis des années, j'aime le plus la vôtre. Merci de produire autant de bonnes analyses."
- Thomas M. 

Une dernière chose : une réduction spéciale de 70 euros

Une dernière chose...

Pour vous encourager à saisir cette chance... au lieu d'attendre...

J'ai décidé d'ajouter une réduction supplémentaire au prix d'adhésion à ce service.

Elle réduit le prix d'adhésion de 70 euros, en guise de promotion de ce lancement.

Ensuite, le prix de ce service va augmenter. Donc vous pouvez attendre, si vous le voulez.

Mais vous le ferez pour un prix plus élevé si vous attendez d'agir après cette date.

De plus, si vous prenez cette offre spéciale... alors vous pourrez renouveler ce service dans un an - si vous souhaitez continuer - au même tarif spécial.

Donc vous épargnez de frais d'adhésion tout de suite... ET dans les années à venir si vous décidez de continuer à bénéficier du service.

Vous pouvez à présent accéder au site qui contient les informations dont vous avez besoin pour nous rejoindre.
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